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#CreepiestObject: les pires pièces des musées du monde entier

Un agneau à deux têtes, un masque contre la peste, un chat pétrifié... Certains musées ont décidément des objets très effrayants.

L’art n’a pas de limite. Lancée par le Yorkshire Museum à la mi-avril, une initiative originale, on ne peut plus glauque, mais drôle, anime les musées du monde entier sur Twitter. Sous le hashtag #CreepiestObject, ils nous partagent la pièce la plus effrayante de leur établissement.

Le thème de ce défi entre curateurs d’expositions a été inauguré le 17 avril dernier, lorsque ledit musée de la ville de York, en Angleterre, a publié un cliché de son atrocité: un chignon vieux de 1500 ans. “Est-ce que vous pouvez battre ça”, fanfaronne l’institution.

Ni une ni deux, les autres suivent. Le Musée historique allemand de Berlin nous fait découvrir un masque de protection contre la peste.

Encore en Allemagne, ce sympathique lapin exposé au Musée de la RDA vaut le détour.

Le musée du jouet de Penshurst Place, à une cinquantaine de kilomètres de Londres, a choisi ceci: une peluche somme tout effrayante.

Personne ne veut s’approcher du chat pétrifié du Historic Pensacola, en Floride.

Encore moins de cet animal né avec deux têtes, tout droit venu d’un musée californien.

Et de rance, voici “l’authentique” mèche de cheveux de Robespierre du musée Carnavalet.

Au Musée de la vie romantique, c’est aussi une histoire de cheveux. Cette fois, ce sont de Maurice Sand.

Les poupées de la Maison de Balzac font froid dans le dos.

Un peu comme cette modélisation en cire de Louis XIV au Château de Versailles.

Toutefois, la palme revient de toute évidence au Musée de Valence pour sa collection d’animaux empaillés.

Ce texte a été publié originalement dans le HuffPost France.

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