«C’est l’heure d’une histoire», avait prévenu cette Américaine sur Facebook. Et quelle histoire. Dans un message posté le 28 février qui est devenu viral, Caelie Wilkes raconte comment elle s’est occupée avec amour d’une jolie petite succulente reçue en cadeau pendant deux ans... avant de se rendre compte qu’elle était en plastique.
«J’étais tellement fière de cette plante. Elle était fournie, d’une magnifique couleur, vraiment une plante parfaite. Je l’avais devant la fenêtre de ma cuisine. Son arrosage était toute une organisation, si quelque d’autre essayait d’arroser ma succulente je devenais agressive parce que je voulais vraiment bien d’occuper d’elle. J’aimais totalement ma succulente», écrit la jeune femme.
Caelia Wilkes aimait tellement sa plante qu’en ce jour de février, elle avait décidé de la rempoter pour lui offrir un espace de vie un peu plus grand. C’est donc en voulant enlever le cache-pot en plastique dans lequel elle était qu’elle a découvert que sa plante chérie était... en plastique, simplement plantée dans du polystyrène recouvert de sable collé.
«J’ai mis tellement d’amour dans cette plante! J’ai nettoyé ses feuilles. J’ai fait de mon mieux pour qu’elle soit belle, et c’est du plastique! Comment j’ai fait pour ne pas voir ça (...) J’ai l’impression que ces deux dernières années ont été un mensonge», conclut avec humour l’Américaine de 24 ans.
Son histoire a évidemment beaucoup fait rire les internautes, qui sont plus de 10 000 à avoir «liké» son message sur Facebook et partagent en commentaires leurs réactions et d’autres anecdotes du même genre.
«Une amie au bureau tue toujours les plantes parce qu’elle oublie de les arroser. Alors j’en ai mis une fausse à la cafétéria. Elle l’a arrosée pendant un mois avant que je lui dise que c’était une fausse», raconte un internaute. «Comment peut-on avoir une plante pendant deux ans, s’en occuper méticuleusement mais ne jamais remarquer qu’elle ne pousse pas d’un millimètre ou ne change pas de couleur?», interroge un autre.
Partagée sur plusieurs groupes d’aficionados de plantes d’intérieur sur Facebook, l’anecdote a depuis fait le tour des médias internationaux. Interrogée sur Virgin Radio UK, Caelie Wilkes a raconté qu’au moment de découvrir la supercherie, elle avait eu «le coeur brisé»: «Je me suis assise, puis j’ai ri et pleuré en même temps», raconte la jeune femme bien décidée à ne pas se séparer tout de suite de sa plante fétiche.
Une seule question nous taraude encore: où est passée toute l’eau de l’arrosage?
Ce texte a été publié originalement dans le HuffPost France.