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Simon Laroche, une découverte d’Éric Salvail, s’en prend à son «gros ballon»

Le jeune créateur a partagé un message très imagé, détaillant la situation de façon presque poétique.

En 2015, nous vous offrions un portrait de l'auteur et animateur Simon Laroche, sous le titre «Un début de carrière signé Éric Salvail». Vous pouvez lire ou relire l'article ici.

Grosso modo, en entrevue avec le HuffPost Québec, le jeune créateur racontait que c'est Éric Salvail qui lui avait donné ses premières chances dans le métier, et qu'il lui avait même offert sur un plateau d'argent l'opportunité d'animer sa propre émission à VRAK, Encore sous la garantie. Le genre de proposition professionnelle qui ne passe pas souvent dans une carrière, surtout quand celle-ci n'en est qu'à ses premiers balbutiements.

Mercredi, dans la foulée de la parution de l'article de La Presse+ dévoilant tous les actes sexuels reprochés à Éric Salvail, Simon Laroche a écrit un statut Facebook très imagé, détaillant la situation de façon presque poétique.

Décochant une flèche à Gilbert Rozon – le scandale impliquant le dirigeant de Juste pour rire n'avait pas encore officiellement éclaté au moment de la publication du message -, Simon Laroche fait surtout état du «gros ballon» d'Éric Salvail, que celui-ci «traîne partout, qui flotte au-dessus de sa tête. Juste en haut de l'auréole qu'il s'est fabriquée en papier mâché».

Et il laisse entendre que lui-même, on le comprend aujourd'hui, aurait pu être une victime d'Éric Salvail.

«Et un jour, on entend un son, une explosion, le bruit d'un ballon. Pas celui de Monsieur Rozon, qui doit être apeuré dans son salon. Le son d'un ballon à qui j'ai eu la force de dire non», philosophe Laroche.

Voici l'intégrale de sa réflexion :

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