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Jocelyne Cazin préfère un risque de fusillade aux États-Unis à un hiver québécois

L'ex-journaliste a confié cette réflexion au micro d'Isabelle Maréchal.
PC/Jacques Boissinot

L'ex-animatrice de J.E. à TVA Jocelyne Cazin préfère le risque de fusillade aux États-Unis que d'avoir à affronter un hiver québécois, a-t-elle raconté au micro d'Isabelle Maréchal au 98,5 FM, lundi matin.

Mme Cazin, aussi ex-candidate de la CAQ, passe environ cinq mois par année en Floride, où un tireur a ouvert le feu dans une école secondaire, la semaine dernière, faisant 17 victimes.

Mme Cazin habite dans une communauté fermée, qui dispose d'une sécurité privée à l'entrée du site, dans la ville de Naples. «Je me sens en sécurité, mais je dois avouer qu'avec les dernières fusillades on n'est plus en sécurité nulle part», a-t-elle admis à Isabelle Maréchal.

C'est ensuite qu'elle a comparé la qualité de vie entre les États-Unis et ses risques de fusillade et l'hiver québécois. «Pour vous dire la vérité, je préfère la peur d'une fusillade à la réalité d'un -20 degrés au Québec l'hiver», a-t-elle lancé.

Isabelle Maréchal a semblé incrédule devant l'affirmation. «Es-tu sérieuse?», a-t-elle relancé.

«Oui», a rétorqué Mme Cazin.

«Eh boy...», a simplement lâché l'animatrice.

Mme Cazin a ensuite poussé plus loin la réflexion à l'aide de statistiques. «Oui, parce que si on regarde la ville de Naples ici, c'est une des plus sécuritaires aux États-Unis. Il y a plusieurs dizaines de communautés fermées. Et d'après les statistiques il y a moins de 3% de risque de vivre une situation violente. C'est quand même pas peu dire», a justifié l'ex-journaliste de TVA.

«La ville de Naples ne sera peut-être pas épargnée un jour, et ça, je dois l'admettre», a-t-elle concédé.

Écoutez l'extrait ici:

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