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Aucun journaliste n'est épié par la GRC ou le SCRS, affirme Justin Trudeau

Aucun journaliste n'est épié par la GRC ou le SCRS, affirme Justin Trudeau

Le premier ministre Justin Trudeau a indiqué jeudi qu'aucun journaliste ne faisait actuellement l'objet d'une surveillance de la part des services policiers ou de renseignement fédéraux.

Dans une conférence de presse organisée marge d'une séance plénière avec des étudiants, à Ottawa, il a signalé que son bureau s'en était assuré.

Il a dit avoir obtenu ces informations de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS).

Le premier ministre Trudeau a réitéré que son gouvernement prenait très au sérieux la question de la liberté de presse.

Il y a quelques mois, on a appris que le journaliste Joël-Denis Bellavance, du quotidien La Presse, avait été filé par la GRC.

L'affaire avait causé des remous sur la colline à Ottawa, mais ces jours-ci, c'est sur l'autre colline, à Québec, qu'un scandale d'espionnage de journalistes force les politiciens à bouger.

Le gouvernement du Québec a annoncé jeudi qu'une commission d'enquête serait mandatée pour se pencher sur la surveillance policière des sources journalistiques.

Depuis lundi, on a appris que plusieurs reporters de divers médias ont été espionnés par le Service de police de la ville de Montréal (SPVM) et la Sûreté du Québec (SQ).

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