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Valérie Plante, la «mairesse de la mobilité», tient à prendre le métro

Valérie plante continue de côtoyer la «classe sardine».

Valérie Plante continue de côtoyer ceux qu'elle appelle affectueusement la «classe sardine». Celle qui se décrit comme la «mairesse de la mobilité» dit prendre le métro régulièrement depuis son élection, malgré les questions de sécurité soulevées par l'opposition.

Mme Plante, qui habite dans Rosemont-La Petite-Patrie, affirme prendre le métro environ une fois aux deux semaines pour se rendre à l'hôtel de ville ou aux différentes activités officielles auxquelles elle participe. Avant son élection, c'était son principal mode de transport en hiver.

«Avec mes nouvelles fonctions, c'est plus compliqué. Mais je prends toujours le métro et j'ai hâte de pouvoir sortir ma bicyclette!», lance-t-elle.

Les questions de sécurité semblent peu jouer dans le choix du mode de transport. Au lendemain de son élection, certains membres de l'opposition craignaient que les escortes policières dans le métro seraient trop onéreuses sur le plan financier.

Au final, Mme Plante n'a été escortée que deux fois, selon le Service de police de la Ville de Montréal. Sa seule contrainte est qu'elle doit être accompagnée par au moins une autre personne, que ce soit un élu ou un employé politique.

Aucune escorte policière n'accompagnait Mme Plante lors de l'entrevue accordée au HuffPost Québec dans le métro, la semaine dernière. Un employé de la Société de transport de Montréal était toutefois présent, ce qui est pratique courante lorsque des tournages ont lieu dans les équipements ou les immeubles de la Société.

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