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conflit israel palestine
Pour que j'écrive quelque chose à propos d'un concours de beauté pancanadien, il me fallait une maudite bonne raison. Et j'en ai une. Elle s'appelle Hala.
Vous avez choisi de vous aligner sur l'extrême droite israélienne.
Ce que les médias tentent d'imposer comme le «conflit israélo-palestinien» n'existe pas.
Je n'en reviens tout simplement pas de constater à quel point la raison symétrique s'est emparée de nos esprits. En lisant les titres de journaux ou en regardant les bulletins de nouvelles superficiels, on est fortement tenté de renvoyer les Palestiniens et les Israéliens dos à dos. C'est tellement plus facile.
Ayons le courage de nommer les choses telles qu'elles sont. Et puisqu'on ose, citons un autre gros mot, celui qui fait réellement trembler Israël. Disons boycott.
Au moment où les médias nous bombardent d'innombrables reportages et éditoriaux, prenons-nous seulement le temps d'examiner ce qu'ils nous disent (ou ne nous disent pas)? Pendant que nous subissons les images, perceptions et interprétations (justes ou pas) dont les médias nous abreuvent, sommes-nous seulement conscients des menaces fondamentales que les radicalismes font peser sur notre existence, nos valeurs et nos modes de vie?
Ce coup de gueule n'a d'autre but que d'ouvrir le débat et de ne pas retomber dans la dichotomie dans laquelle nos parents et nos grands-parents se sont enfargés. C'est à notre génération commune, israélienne, palestinienne et autre, de trouver la solution. Et celle-ci ne passe pas par les insultes.