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Dalila Awada
Il importe de rappeler qu'appartenir à une société c'est aussi avoir la liberté d'en critiquer les organisations, et idéalement sans se retrouver avec une cohue disciplinaire aux trousses par la suite.
L'islamo-gauchisme, loin d'être un défaut, constitue une dimension essentielle du renouvellement du mouvement pour l'indépendance du Québec dans une société plurielle.
Vous faites l'impasse sur plusieurs centaines de victimes pour lesquelles vous n'avez aucun mot. Pire encore, vous présentez les agresseurs comme les réelles victimes de ce qui s'est passé à Cologne.
Pourquoi ne pas oser régler la question de la laïcité entre femmes principalement? N'est-il pas temps de renverser la dynamique malsaine inhérente à ce modèle français préjudiciable à nos femmes du Québec?
Le modèle de laïcité hétérodoxe vaudrait peut-être mieux que le modèle orthodoxe à la française, surtout parce que celui-ci ne reviendra pas de sitôt dans le programme politique de notre société fortement marquée maintenant par le multiculturalisme canadien.
La manière de faire des militants de Québec Inclusif est douteuse, sans éthique. Elle tente de faire taire les opinions divergentes à la leur par des dessous de table! Ce n'est pas la première fois qu'André Gagnon dérange les « Inclusifs ».
Que dit la défense? Dalila Awada aurait mis en branle une «poursuite bâillon» ? C'est une vraie farce, que le PQ endosse par-dessus le marché. Une poursuite bâillon de la part d'une jeune étudiante en sociologie à l'UQAM ! Dalila Awada et Barrick Gold, même combat ?
Sur le Huffington Post, Michel Seymour a réagi à mon éditorial paru sur le site etre.net concernant la mouvance « inclusive » et l'Affaire Awada. L'idéologue «inclusif» qui se présente comme professeur de philosophie à l'Université de Montréal reprend de façon assez peu subtile, mais tout en y mettant quelques gants blancs, les mêmes propos diffamatoires qui ont déjà été tenus à mon égard.
Dans un article intitulé «Les 'Inclusifs' et l'affaire Awada: la diabolisation et la censure», paru dans une récente livraison d'Être magazine, André Gagnon attaque à son tour Dalila Awada. Cette sortie vindicative ne fait pas avancer le débat.