HuffPost Canada a fermé ses portes en 2021 et ce site est maintenu en tant qu'archive en ligne. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.

Francois Blais

TEXTE COLLECTIF Nous réclamons un investissement supplémentaire de 40M$ pour être en mesure d’accomplir notre mission.
Nous croyons qu’une personne avec une contrainte sévère à l’emploi devrait recevoir automatiquement le revenu de base.
Si l’objectif est réellement d’augmenter la participation des premiers demandeurs à ce programme, et non de punir les plus vulnérables, le ministre ne peut continuer sur la même voie en ignorant l’avis des experts et des acteurs du milieu.
Nos dirigeants syndicaux commettent l'erreur de confondre Objectif emploi et des expériences de travail forcé menées dans d'autres pays au cours des 40 dernières années dont certaines ne se sont pas avérées concluantes en termes de diminution permanente de la pauvreté.
Les approches punitives et coercitives privilégiées par le ministre de l’Emploi et de la « Solidarité sociale » n’ont pas leur place.
Il s’en est pris personnellement à la députée Nathalie Roy plus tôt en journée.
Le ministre de la Famille n'a pas mâché ses mots en réponse aux critiques de la caquiste Nathalie Roy. Elle accusait le gouvernement d'improvisation dans le dossier des chèques d'aide sociale pour les migrants.
Pour qu’un plan de lutte à la pauvreté soit réellement efficace, il faudrait d’abord que le gouvernement cesse de voter des projets de loi qui jetteront les personnes en situation de vulnérabilité dans la rue.
Alors que vous vous apprêtez à mettre en vigueur le programme Objectif Emploi, qui pourrait priver des milliers de bénéficiaires d'aide sociale d'une partie importante de leurs prestations (déjà terriblement insuffisantes!), j'aimerais vous raconter mon histoire...