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islam radical
Il nous faut penser les attentats et le terrorisme, pleurer est une chose, mais cela ne suffit pas pour lutter contre les actes de l'islam radical. Après les bougies, il faut penser afin d'agir.
L'islam d'aujourd'hui n'est pas en crise à cause d'une conspiration globale qui cherche à le détruire, comme le prétend l'islamisme.
Une panéliste suggère de bannir tous les ressortissants de certains pays musulmans.
Ceci est une fiction ; toute personne se reconnaissant dans ce qui suit devra en urgence aller se rendre aux autorités et éventuellement consulter...
Les premiers à s'engager sur ce chemin sont les instruits : savants, érudits, libres penseurs, etc. Ils doivent initier le vrai réveil en incitant les autres musulmans à ne plus écouter et suivre les pseudo imams et autres exégètes qui prêchent l'obscurantisme dans les medersas et les mosquées.
Au-delà du soleil et des plages, les Caraïbes sont une région à risques qui échappent aux voyageurs. Le terrorisme s'est globalisé, mais il n'a pas encore atteint ces iles paradisiaques. Deviendront-ils la prochaine frontière du terrorisme international ?
Nous vivons une époque où les médias accordent une trop grande place aux discours extrémistes. Or il existe, et elles sont plus nombreuses qu'on le croit, des voix musulmanes qui tentent de faire prédominer un islam modéré.
Par «essentialisme religieux», j'entends la notion que l'appartenance religieuse serait un trait essentiel de la personne, et que les adhérents d'une communauté religieuse partageraient certaines caractéristiques essentielles à cette religion. Cette attitude se manifeste surtout à l'égard des minorités religieuses, notamment aux musulmans.
La communauté musulmane doit «balayer devant chez-elle» et contribuer à la lutte contre le marteau de l'occidentalophobie islamiste tout en menant, de pair avec leurs sociétés d'accueil, la lutte collective contre l'enclume de l'islamophobie.
Que les questions de religion et de religiosité suscitent de vives réactions n'est pas surprenant. Au Québec, la question religieuse a tristement marqué notre mémoire collective. Mais réduire, en 2016, le fait religieux à sa dimension violente, c'est une position un peu simpliste qui nie la parole des principaux concernés: nos jeunes.