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Il s'agit d'une avancée importante en matière environnementale, puisqu'elle contribuera à lutter contre la pollution atmosphérique tout en bonifiant la diversité de l'offre de véhicules électriques sur le marché québécois.
Le gouvernement Couillard a décidé de déposer, il y a quelques semaines, le projet de loi 104: loi visant l'augmentation du nombre de véhicules automobiles zéro émission au Québec afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) et autres polluants.
L'objectif de 100 000 véhicules rechargeables sur les routes du Québec d'ici 2020 est certes louable, mais minime par rapport au potentiel du marché québécois.
Cette affaire illustre le besoin réel d'une loi zéro émission exigeant la vente d'un pourcentage minimal de véhicules électriques, sans émissions polluantes.
Il est bien sûr évident que la multiplication des véhicules hybrides et électriques réduira d'autant la consommation de pétrole. Mais est-ce que cela aura un impact significatif sur les émissions de CO2?
À partir du moment où nous voulons vraiment réduire les GES et notre dépendance énergétique, quelles solutions s'offrent à nous?
Le gouvernement du Québec a annoncé, en novembre dernier un ambitieux programme d'électrification des transports. Par contre, il manque une mesure, la plus importante et la moins coûteuse: une loi obligeant les manufacturiers automobiles à produire un nombre suffisant de voitures Zéro émission.