L'étudiant de 19 ans, déjà accusé d'introduction par effraction, fait maintenant face à 4 chefs d'introduction par effraction pour commettre une agression sexuelle, 6 chefs d'accusation d'introduction par effraction dans l'intention de commettre un acte criminel et 2 tentatives d'introduction par effraction.
Le jeune homme est considéré comme le principal suspect dans les événements du 15 octobre dernier.
L'étudiant d'origine guinéenne était inscrit au baccalauréat en économie à l'Université Laval. Il a été arrêté dans un appartement de Sainte-Foy.
Thierno-Oury Barry est détenu depuis samedi dernier. La Couronne s'est opposée à sa remise en liberté. Il sera de retour en cour le 4 novembre pour son enquête sur remise en liberté. Il lui est interdit de communiquer ou de tenter de communiquer avec les plaignantes.
L'autre suspect, un individu de 20 ans, habitait le pavillon Alphonse-Marie-Parent où les événements se sont produits. Il a été libéré sous promesse de comparaître au cours des prochaines semaines.
Les deux étudiants ont été suspendus de l'Université le temps des procédures judiciaires.
Rassemblement à l'Université Laval contre les agressions sexuelles
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Manon Massé députée de Sainte-Marie–Saint-Jacques (Québec solidaire) étreint une jeune femme venant de témoigner d'une agression sexuelle devant la foule. (credit:Alice Chiche)
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Dans le rassemblement à l'Université Laval, de nombreuses personnes ont brandi des pancartes avec des messages de soutien aux victimes d'agression sexuelle. (credit:Alice Chiche)
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Dans le rassemblement à l'Université Laval, de nombreuses personnes ont brandi des pancartes avec des messages de soutien aux victimes d'agression sexuelle. (credit:Alice Chiche)
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Dans le rassemblement à l'Université Laval, de nombreuses personnes ont brandi des pancartes avec des messages de soutien aux victimes d'agression sexuelle. (credit:Alice Chiche)
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Dans le rassemblement à l'Université Laval, de nombreuses personnes ont brandi des pancartes avec des messages de soutien aux victimes d'agression sexuelle. (credit:Alice Chiche)
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Le recteur de l'Université Laval, Denis Brière a été critiqué pour sa mauvaise gestion de la crise. Il a pris la parole lors du rassemblement mais il a été hué et quelques personnes ont demandé sa démission. (credit:Alice Chiche)
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(credit:Alice Chiche)
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Un micro était à disposition pour les membres de l'Université Laval, les ministres et les députés mais également pour toutes personnes voulant prendre la parole. Ici, une jeune femme raconte devant une foule silencieuse et attentive son agression sexuelle. (credit:Alice Chiche)
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Dans le rassemblement à l'Université Laval, de nombreuses personnes ont brandi des pancartes avec des messages de soutien aux victimes d'agression sexuelle. (credit:Alice Chiche)
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