Le secrétaire général de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), Abdou Diouf, prendra la parole devant les parlementaires de l'Assemblée nationale au Salon bleu, mercredi après-midi - une première depuis la venue au Québec de l'ancien président français Nicolas Sarkozy en 2008.
Tel qu'annoncé par Radio-Canada dimanche, M. Diouf devrait souligner la contribution exceptionnelle du Québec à la francophonie et parler de la « francophonie économique », qui vise à aider tous les pays francophones à prendre part à l'économie mondiale.
Son discours est prévu à 15 h. Auparavant, il rencontrera aussi en privé le président de l'Assemblée nationale, la première ministre et les chefs des partis d'opposition.
Jeudi, le secrétaire général de la Francophonie prendra la direction de Montréal, où il prendra la parole dans le cadre d'un déjeuner-causerie organisé par le Conseil des relations internationales de Montréal. M. Diouf se rendra également à la Maison du développement durable en après-midi pour une rencontre avec Les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ).
Cette visite au Québec intervient à un an du prochain Sommet de la francophonie, qui aura lieu à Dakar en 2014.
M. Diouf a été président du Sénégal de 1981 à 2000. Il est secrétaire général de l'OIF depuis 2002.
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La Loi 101 au Québec
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Open Image ModalCamille Laurin lors de son entrée à l'Assemblée nationale, le 27 avril 1977, jour où il déposa son projet de loi sur la langue française. (credit:PC)
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Open Image ModalUn vétéran de la Seconde guerre mondiale proteste contre la Loi 101. (credit:PC)
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Open Image ModalCamille Laurin appose un badge YES sur le veston de René Lévesque, lors de la campagne du référendum sur l'indépendance du Québec en février 1980. (credit:PC)
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Open Image ModalCamille Laurin s'adresse au caucus du PQ lors du 20ème anniversaire de la Loi 101, célébré le 26 août 1997. (credit:PC)
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Open Image ModalUn restaurateur montréalais montre les sous-bock en anglais qui lui ont valu, en mars 2000) d'être réprimandé par les inspecteurs de l'Office de la langue française. (credit:PC)
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Open Image ModalGilles Duceppe, Louise Harel et Pauline Marois en tête de la manifestation montréalaise organisée le 26 août 2007, pour les 30 ans de la Loi 101. (credit:PC)
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Open Image ModalDes partisans de la Loi 101 manifestent pour la défense de la Charte de la langue française, le 26 août 2007 à Montréal. (credit:PC)
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Open Image ModalUn défenseur du Québec francophone, lors de la manifestatiom organisée pour les 30 ans de la Loi 101. (credit:PC)
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Open Image ModalLe premier ministre Jean Charest, le 3 juin 2010, lors d'un débat houleux à l'Assemblée nationale portant sur une décision de la Cour supérieure qui a autorisé les enfants de neuf familles à fréquenter une école anglophone. (credit:PC)
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Open Image ModalPauline Marois, le 3 juin 2010, lors d'un débat houleux à l'Assemblée nationale portant sur une décision de la Cour supérieure qui a autorisé les enfants de neuf familles à fréquenter une école anglophone. (credit:PC)
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Open Image ModalL'édifice de l'Office québécois de la langue française, à Montréal, porte le nom du père de la Loi 101. (credit:PC)
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Open Image ModalLe député indépendant, et ex-péquiste, Pierre Curzi présente, le 27 mai 2012, un projet de loi visant à modifier la Charte de langue française qui élargirait la portée de ses dispositions. (credit:PC)
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