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La coalition «Trainsparence» veut une commission parlementaire sur le REM

La coalition «Trainsparence» veut une commission parlementaire sur le REM
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CDPQ Infra

Alors que commence la deuxième partie des séances publiques sur le projet de train électrique de la Caisse de dépôt et placement du Québec dans la région de Montréal, une coalition de groupes écologistes, citoyens et d'un grand syndicat s'oppose au projet et demande la tenue d'une commission parlementaire pour étudier le tout.

La coalition dénonce entre autres l'empressement qui marque depuis le début ce projet de Réseau électrique métropolitain (REM).

Les travaux doivent en effet débuter au printemps 2017 et la livraison du train est prévue en décembre 2020.

La coalition tient à ce que l'on prenne le temps d'en examiner le tracé, les répercussions environnementales et même la pertinence.

Et elle n'apprécie pas non plus la trop grande place qui est faite au secteur privé, selon elle, dans un projet de transport en commun.

Au cours d'une entrevue avec La Presse canadienne, le porte-parole de la coalition baptisée "Trainsparence", Denis Bolduc, a dit estimer que "beaucoup trop de questions sont laissées sans réponses" face à ce projet, piloté par une filiale de la Caisse de dépôt et placement, CDPQ Infra.

"C'est un projet qui est conçu par le privé pour finalement générer des revenus, du rendement, alors la priorité n'est pas sur le projet comme tel, l'offre de service en transport en commun, mais c'est vraiment un projet qui est conçu d'abord et avant tout pour le rendement", croit M. Bolduc, qui est aussi président du SCFP-Québec (Syndicat canadien de la fonction publique, affilié à la FTQ).

La coalition regroupe des groupes écologistes comme le Sierra Club Québec, des groupes locaux comme Sauvons L'Anse-à-L'Orme ou Les amis du parc Meadowbrook, mais aussi le SCFP - qui représente de nombreux syndiqués dans le transport en commun au Québec, notamment dans les sociétés de transport de Montréal, Longueuil et Laval.

La coalition s'objecte aussi au projet pour des raisons de protection de la faune - d'oiseaux, d'amphibiens - et de protection des espaces verts.

Elle estime aussi que le futur train, même s'il est électrique, n'entraînera pas de réduction des gaz à effet de serre, notamment parce que des gens voudront prendre leur véhicule à essence pour se rendre aux gares.

La coalition Trainsparence a été formée au cours des dernières semaines. Le SCFP-Québec a été approché par des organisations locales, inquiètes des répercussions du projet de train tel que conçu, a précisé M. Bolduc.

Le SCFP-Québec présentera tout de même un mémoire dans le cadre de la deuxième partie des séances publiques de la commission du BAPE (Bureau des audiences publiques sur l'environnement), à compter de lundi.

Le Réseau électrique métropolitain (REM), évalué à 5,5 milliards $, reliera le centre-ville à l'aéroport, à Deux-Montagnes, à Sainte-Anne-de-Bellevue et à la Rive-Sud de Montréal via le futur pont Champlain. Le tout fera 67 kilomètres et comprendra 24 stations.

Le projet a déjà été modifié pour répondre à certaines critiques, notamment pour diminuer le nombre de personnes qui devront être relocalisées, pour mieux protéger un parc-nature, pour préserver les milieux humides et l'habitat de deux espèces vulnérables.

Voir aussi:

Dans les coulisses du transport en commun montréalais
PARTIE 1: LE RÉSEAU D'AUTOBUS(01 of84)
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À voir dans cette visite:- L'usine de NovaBus à Saint-Eustache
- Le Centre de transport Legendre de la STM
- L'atelier de rechapage de pneus de la STM
- La mise en place de la voie réservée sur Champlain
- Les vieux autobus de la la FHTCQ
(credit:David Kirouac)
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C'est ici que tout commence, à l'usine de NovaBus, à Saint-Eustache. Les cadrages des futurs autobus arrivent de Saint-François-du-Lac où ils sont préparés par les équipes de soudure. (credit:David Kirouac)
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On peut voir ici un des 500 employés de NovaBus à Saint-Eustache s'affairer à la préparation de l'installation d'équipements à l'aide d'un gabarit. (credit:David Kirouac)
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Ici on travaille à l'installation de la rampe d'accès des autobus LFS. (credit:David Kirouac)
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Tout au long de la ligne de montage des autobus, diverses tâches sont effectuées. Ici, on aperçoit l'installation d'éléments de scellage sur la coquille avant de l'autobus. (credit:David Kirouac)
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L'étape tout juste avant la pose des fenêtres et de la finition intérieure de l'autobus. (credit:David Kirouac)
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La touche finale à certaines connexions sous les autobus. (credit:David Kirouac)
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Une des dernières étapes de la production où l'on vérifie les diverses composantes avant la livraison. (credit:David Kirouac)
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Nous voici maintenant au Centre de transport Legendre de la STM. Une portion de la flotte de 1721 autobus de la STM est stationnée et entretenue ici. (credit:David Kirouac)
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La portion stationnement intérieur du Centre de transport Legendre correspond à environ 1,5 fois la dimension d'un terrain de football de la LCF. (credit:David Kirouac)
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L'entretien mécanique des autobus s'effectue ici. (credit:David Kirouac)
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Une autre portion de l'atelier mécanique. (credit:David Kirouac)
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Nous voilà dans l'atelier de rechapage de pneus de la STM, au Centre de transport Legendre. Le rechapage d'un pneu consiste à sa remise en état afin d'augmenter sa durée de vie. (credit:David Kirouac)
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Dans ce four, les pneus rechapés sont chauffés afin de souder la nouvelle semelle de pneu. (credit:David Kirouac)
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Une semelle de pneu fraîche prête à être collée sur une carcasse de pneu préparée. (credit:David Kirouac)
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Voici une portion des pneus entreposés pour les besoins annuels. De manière générale, le département rechape environ 4000 pneus annuellement. (credit:David Kirouac)
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Passage au lave-autobus automatisé. Nettoyer ainsi les autobus, spécialement l'hiver, permet de diminuer l'effet des éléments et ainsi prolonger la vie des autobus. (credit:David Kirouac)
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Peu avant 15h chaque jour, des véhicules de protection se préparent afin de mettre en place la voie réservée sur le pont Champlain. (credit:David Kirouac)
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La mise en place de la voie réservée s'effectue au côté des véhicules roulant à des vitesses élevées, ce qui explique la présence du véhicule de protection. (credit:David Kirouac)
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L'opération se déroule malgré le trafic de plus en plus dense depuis 1978, année de l'inauguration de la voie réservée du pont Champlain. (credit:David Kirouac)
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Le véhicule de tête, le camion transportant les cônes et le véhicule protecteur qui ferme le convoi. (credit:David Kirouac)
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On pourrait penser que ce travail est automatisé, mais ce n'est pas le cas. Beau temps, mauvais temps, deux personnes s'affairent à installer manuellement les cônes nécessaires à la démarcation de la voie réservée. Chaque cône pèse 10 livres et environ 400 d'entre eux sont installés. (credit:David Kirouac)
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On peut voir le travail effectué manuellement et les véhicules circulant très près à de hautes vitesses. (credit:David Kirouac)
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Une fois les cônes installés et la voie complètement dégagée, les autobus peuvent enfin y circuler à contre sens et éviter les bouchons de circulation. (credit:David Kirouac)
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Peut-être faites-vous partie des 136 000 passagers transitant par le Terminus Centre-Ville à chaque jour? (credit:David Kirouac)
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En provenance du Terminus Centre-Ville, si vous empruntez un des circuit transitant par la voie réservée du pont Champlain, ceci sera votre entrée sur cette dernière. À chaque heure de pointe, en moyenne 460 autobus utilisent la voie réservée du pont Champlain. (credit:David Kirouac)
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Le grand avantage de cette voie réservée, pouvoir circuler rapidement à contre-sens et éviter les bouchons de circulation. (credit:David Kirouac)
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Un petit saut par le terminus Longueuil, une vue imprenable de la salle de contrôle du terminus montre les activités extérieures de cette plateforme importante de l'offre de transport de la région. (credit:David Kirouac)
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À la fin de vie utile des autobus, la vaste majorité d'entre eux sont vendus pour la ferraille ou conservés pour des pièces. Cependant, des passionnés (FHTCQ) s'affairent à conserver certains anciens autobus et à les restaurer afin qu'ils retrouvent leur lustre d'antan. L'autobus figurant sur cette image a été fabriqué en 1973 et fut complètement restauré en 2012 aux anciennes couleurs de la CTCUM. (credit:David Kirouac)
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Cet autobus date de 1985 et fut restauré en 2009. (credit:David Kirouac)
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Autobus fabriqué en 1983 et remis à la FHTCQ en 1999. Cet autobus était utilisé sur des lignes de banlieue. Fait intéressant, il ne possédait qu'une seule porte avant. (credit:David Kirouac)
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La FHTCQ porte une grande attention à la restauration intérieure des autobus de sa collection. (credit:David Kirouac)
PARTIE 2: LE MÉTRO DE MONTRÉAL(33 of84)
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À voir dans cette visite:- L'usine de Bombardier à La Pocatière
- L'Atelier Youville de la STM
- À bord d'une cabine d'opérateur
- Le centre d'entraînement de la STM
(credit:David Kirouac)
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En 2016, les premières stations du réseau de métro de Montréal fêteront leur 50e anniversaire. Il est difficile d'imaginer tout l'entretien et toutes les opérations nécessaires afin de maintenir le système en marche. Sans oublier l'arrivée prochaine des nouvelles voitures MPM-10, aussi connues sous le nom de Azur. (credit:David Kirouac)
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Le point de départ: les ateliers d'assemblage des nouvelles voitures de métro Azur. Elles sont assemblées à l'usine de Bombardier à La Pocatière. Nous sommes ici au tout début de la ligne d'assemblage avec quelques cloisons montées sur un gabarit. (credit:David Kirouac)
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Les voitures commencent à prendre forme à cette étape, bien que la finition intérieure ne soit pas encore apparente. (credit:David Kirouac)
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Une voiture de tête dont la cabine vient tout juste d'être installée. 400 employés de Bombardier travaillent sur le projet des voitures Azur. (credit:David Kirouac)
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Plusieurs étapes de l'assemblage sont automatisées. Ici, un robot applique la colle qui est nécessaire afin de fixer le plancher des voitures. (credit:David Kirouac)
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Deux employés s'affairent à installer les plaques de plancher sur lequel la colle a été appliquée. (credit:David Kirouac)
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Il est plus facile de reconnaître les voitures Azur à cette étape. La finition extérieure commence à nous montrer la couleur distinctive. (credit:David Kirouac)
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Voici l'intérieur des nouvelles voitures Azur du métro de Montréal. Certains détails de la finition restent à installer. (credit:David Kirouac)
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Nouvelle cabine ultra moderne pour le conducteur des voitures Azur. Elles sont beaucoup plus spacieuses que les anciennes voitures de métro. (credit:David Kirouac)
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Voici une des voitures d'extrémité de l'Azur, sur laquelle il ne reste que quelques détails à compléter. (credit:David Kirouac)
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Avant l'étape de finition des voitures Azur, les rames complètes sont testées aux installation de Bombardier à La Pocatière. La finition intérieure est complétée seulement une fois le test réussi. On peut voir ici l'intérieur du train complet prêt pour les essais sur piste. (credit:David Kirouac)
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Voici une rame complète prête pour les tests. Au total, 468 voitures, soit 52 trains de 9 voitures, seront testées ici avant leur livraison et mise en service. Vous avez peut-être eu la chance de voir une des voitures utilisées sur la ligne orange pour des tests hors des heures de pointe? (credit:David Kirouac)
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La piste d'essai mesure 1km et est couverte afin de permettre aux équipes de Bombardier d'effectuer les divers tests même en hiver afin de ne pas retarder la production. (credit:David Kirouac)
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Une fois livrées, les voitures Azur sont rassemblées ici à l'atelier Youville de la STM et se retrouvent côte à côte avec leurs prédécesseurs, les MR-73. À noter que les voitures MR-73 demeureront en services et seules les MR-63 seront graduellement retirées du service dans le réseau de métro. (credit:David Kirouac)
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L'atelier Youville, sur le boulevard Saint-Laurent, près de l'intersection du boulevard Crémazie, a dû subir d'importantes mises à jour afin de recevoir les nouvelles voitures Azur. (credit:David Kirouac)
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On peut voir ici une fosse qui fait la longueur complète d'une rame afin de pouvoir travailler sous les trains. (credit:David Kirouac)
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Voici un train qu'on aperçoit rarement, il est utilisé lors de l'entretien des voies. Il s'agit du train dépoussiéreur, qu'on peut comparer à un aspirateur géant. (credit:David Kirouac)
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Un des nombreux véhicules utilisés pour l'entretien du réseau de métro. Celui-ci date de 1975. (credit:David Kirouac)
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Voici où sont fabriqués les freins des wagons de métro, ils sont en bois. Après études, le bois s'est avéré le meilleur matériel et le plus efficace pour agir en tant que frein. (credit:David Kirouac)
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Un wagon se trouvant dans l'atelier de peinture. (credit:David Kirouac)
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Un système d'aspiration permet de dépoussiérer les moindres recoins d'une voiture avant sa remise en service après un passage au centre d'entretien. (credit:David Kirouac)
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Voici un pont de transfert entre les diverses baies de travail de l'atelier Youville. (credit:David Kirouac)
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Nous voici maintenant à la station Lionel-Groulx, à même la cabine de l'opérateur. (credit:David Kirouac)
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Lumière au bout du tunnel avant l'entrée en station. (credit:David Kirouac)
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Nous voici au centre d'entraînement du service de prévention des incendies de la STM. Il s'agit en fait d'un faux tunnel avec 3 voitures MR-63 qui ont été retirées du service et adaptées à la formation. Elles servent à l'entraînement des employés de la STM et du personnel d'urgence. Il est possible d'y simuler des incendies en toute sécurité. (credit:David Kirouac)
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Voici les mannequins d'entraînement utilisés lors des simulations. Bien qu'étranges, ils pèsent autant qu'un homme adulte et reproduisent le même effet en les transportant. (credit:David Kirouac)
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Au centre d'entraînement, une fausse entrée de station est aussi présente afin de mieux simuler ce que les équipes d'urgence pourraient rencontrer. (credit:David Kirouac)
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Afin d'évaluer le temps de réponse de l'opérateur ou d'un autre employé en formation, un faux centre de contrôle du métro est installé. (credit:David Kirouac)
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Quelle est la station de métro la plus achalandée du réseau? Berri-UQAM bien évidemment avec 12,9 millions d'entrants en 2014. La moins achalandée? Georges-Vanier avec seulement 840 000 entrants en 2014. (credit:David Kirouac)
PARTIE 3: LE TRAIN DE BANLIEUE(63 of84)
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À voir dans cette visite:- La gare Mascouche
- Le centre d'entretien de Lachine
- Le lave-train
(credit:David Kirouac)
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Chaque matin de semaine, des miliers de gens sont transportés dans les divers trains du réseau de l'AMT. Pour la plupart il s'agit d'une habitude bien ancrée. (credit:David Kirouac)
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En moyenne, 79 700 (2014) passagers transitent par le réseau de train de banlieue de Montréal à chaque jour. (credit:David Kirouac)
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La nuit, les trains sont stationnés à divers centres où des inspections et de l'entretien sont effectués, comme ici à la gare Mascouche. (credit:David Kirouac)
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Une rame complète peut être stationnée dans ce garage chaque nuit. Les garage fermés facilitent l'entretien et les inspections peu importe les conditions météo. Une rame de 10 voitures en plus de sa locomotive mesure 304 m. (credit:David Kirouac)
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Des inspections des diverses rames sont complétées chaque nuit selon les règles de Transport Canada afin de s'assurer de l'état de fonctionnement des trains de banlieue. (credit:David Kirouac)
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Ici, une inspection est effectuée sous un train. (credit:David Kirouac)
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Même les trains stationnés à l'extérieur subissent des test et de l'entretien. (credit:David Kirouac)
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Un test de frein est effectué, le train ne sera pas libéré tant que le test complet n'aura pas été effectué avec succès. (credit:David Kirouac)
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Dans la région de Montréal, de nouveau centres d'entretien des trains de l'AMT sont en construction, comme ici à Lachine. Les travaux qui avaient débuté en avril 2013 doivent se terminer en décembre 2015. (credit:David Kirouac)
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Divers ateliers sont présents sur le site afin de pouvoir entretenir l'équipement roulant de A à Z. (credit:David Kirouac)
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Cet appareil est utilisé afin de finaliser l'installation des rails du centre de service. (credit:David Kirouac)
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Cet immense garage servira entre autre à l'entretien des locomotives. (credit:David Kirouac)
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Une fosse de 7,5 m (25 pi) de profondeur permettra d'enlever en toute sécurité des composantes majeures des locomotives et d'en faire leur entretien. (credit:David Kirouac)
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Ici, au lieu d'avoir une fosse comme à d'autres endroits, les trains sont surélevés afin de permettre leur inspection. Il est ainsi plus facile de retirer certaines pièces. (credit:David Kirouac)
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Un train peut se salir rapidement avec de la graisse et d'autres éléments. Et l'accumulation de telles substances peut nuire grandement si elle n'est pas retirée. Pour cela, un lave-train a été installé à Lachine. (credit:David Kirouac)
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Le principe est le même qu'un lave-auto, mais conçu pour de gigantesques machines. (credit:David Kirouac)
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Ces brosses abrasives permettent de nettoyer une rame de train complète en environ 5 minutes. (credit:David Kirouac)
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Trois différents types de locomotive utilisées par l'AMT sur le réseau des trains de banlieue. (credit:David Kirouac)
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Un des éléments spéciaux du réseau de train de banlieue de Montréal se retrouve sur la ligne de Deux-Montagnes, soit le tunnel du mont Royal qui s'étend sur plus de 5 km. De nombreuses mesures de sécurité ont dû être prises afin de minimiser les risques pour les utilisateurs. Entre autres, un véhicule d'intervention stationné en permanence à la gare Centrale. (credit:David Kirouac)
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Ce véhicule d'intervention est notamment équipé afin d'éteindre un incendie. (credit:David Kirouac)
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(credit:David Kirouac)

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