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Ottawa retranchera 2,5 G$ du budget de la Défense nationale d'ici 2015

Ottawa retranchera 2,5 G$ du budget de la Défense nationale d'ici 2015
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CP

OTTAWA - Une analyse indépendante a conclu que les coupes budgétaires qui frappent actuellement la Défense nationale sont probablement plus draconiennes que ce qu'a laissé entendre le gouvernement de Stephen Harper.

Publié par le Centre d'études de sécurité et de défense de l'Université Carleton, le rapport rend compte de l'impact cumulatif d'une série de mesures qui devraient, selon lui, réduire de 2,5 milliards $ le budget du ministère de la Défense d'ici 2015.

Il s'agirait du premier portrait complet des conséquences sur l'armée canadienne du double plan de compressions budgétaires mis de l'avant par Ottawa.

Le document prévient que le changement de la méthode comptable utilisée par le ministère et la répugnance de ce dernier à diminuer ses effectifs et ses moyens signifient que les économies devront être réalisées ailleurs.

Dave Perry, analyste pour la Conférence des associations de la défense et auteur de la recherche, a affirmé que malgré le faible des conservateurs pour l'armée, ils lui imposaient des coupes budgétaires aussi importantes que leurs prédécesseurs.

Un porte-parole du ministre de la Défense, Peter MacKay, a toutefois déclaré que le gouvernement avait demandé au ministère de s'assurer que chaque dollar versé par les contribuables était bien employé et que les modifications rendraient les Forces canadiennes plus efficaces.

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Rafale blanche 2012
Rafale blanche 2012(01 of11)
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3300 soldats de la base militaire de Valcartier ont pris la direction de Chaudière-Appalaches (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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Bien équipé pour résister au froid, ce soldat du 1er Bataillon, Royal 22e Régiment guette un éventuel ennemi. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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Les cuisiniers, mécaniciens, commis, magasiniers, etc., représentent 40% des militaires déployés dans l\'exercice. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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(credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
Rafale blanche 2012(05 of11)
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Le 51e escadron de génie de campagne fait ici exploser une cabane afin de neutraliser d\'eventuels ennemis situés à l\'intérieur. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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Le 51e escadron de génie de campagne effectue une fouille minutieuse dans un chalet pour retrouver des armes et des munitions cachés. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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De gauche à droite: le lieutenant-colonel Levasseur, l\'adjudant-chef Moreau, le colonel Lafaut et le Major Picard. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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Le capitaine Dufour du 5e Régiment de génie de combat plonge jusqu\'à 11 mètres. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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La compagnie A du 3e Bataillon, Royal 22e Régiment a effectué un spectacle aérien sous les yeux des habitants de Sainte-Marie. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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Les curieux étaient nombreux à assister aux démonstrations et poser des questions aux militaires. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
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Une centaine de parachutistes du 3e Bataillon, Royal 22e Régiment font le saut avant de simuler l\'attaque d\'une usine. (credit:Nicolas Laffont/HuffPost Québec)
Entraînement Highland Yankee
Entraînement Highland Yankee(01 of08)
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Le Royal Highland Regiment of Canada (Black Watch) participait à un exercice de guerre hivernal avec un peloton américain
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Arrivés tard dans la nuit, les soldats ont préparé leurs tentes et attendaient leur première journée d\'exercice.
Entraînement Highland Yankee(03 of08)
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Objectif de la première journée : défendre la position tenue, creuser des tranchées et construire de véritables forts de défense.
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Sur la base de Valcartier, la forêt s\'étend à perte de vue sur les terrains d\'entrainement.
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À l\'intérieur d\'une tente la température est proche du point de congélation. Cela reste plus chaud qu\'à l\'extérieur...
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Le lieutenant Maghakian, commandant du peloton des Black Watch pour l\'exercice s\'entretient avec un soldat américain sur la facon d\'attaquer les positions ennemies.
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Durant l\'attaque, les cinq ennemis ont tous été «neutralisés» et fouillés.
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Le lieutenant Fry, commandant du peloton américain faiti ici un débriefing du raid mené par ses hommes et ceux du Black Watch.
Guerrier nordique
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L\'exercice Guerrier Nordique 2012 se tenait dans le village de Salluit dans le Nunavik, à près de 2000 km de Montréal. (Nicolas Laffont)
Guerrier nordique(02 of10)
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Un Ranger du 2e Groupe de patrouilles des Rangers du Canada montre aux réservistes (dont c\'est leur première fois dans le Grand Nord pour la plupart) comment monter un igloo pour se protéger du froid. (Nicolas Laffont)
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Un militaire de la US Army Reserve National Guard du Maine participe à la découpe des blocs de neige avec ses collègues canadiens. (Nicolas Laffont)
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Les réservistes ont pu s\'exercer au tir avec des mitrailleuses C6, C7 et C9. (Nicolas Laffont)
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Guerrier nordique 2012, un exercice aux confins du Québec, là où nul soldat n\'était jamais allé. (Nicolas Laffont)
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Le major Serge Lapointe et sa \"morsure du froid\" sur sa joue droite. Un bout de peau à l\'air libre trop longtemps et c\'est la brûlure assurée. (Nicolas Laffont)
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Le capitaine Alain Duford présente ici les mesures pour les soins médicaux pouvant aller jusqu\'à l\'hospitalisation à l\'hôpital général de Montréal. (Nicolas Laffont)
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La nuit est terriblement froide mais magnifique avec ses aurores boréales. 2013 sera d\'ailleurs l\'année la \"plus chaude\" en terme d\'éruptions solaires (donc d\'aurores boréales) depuis le début des années 2000. (Nicolas Laffont)
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À perte de vue, la toundra rend impossible la survie sans équipement et protection. (Nicolas Laffont)
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Un peloton de reconnaissance rentre au campement après plusieurs heures passé dans le froid. (Nicolas Laffont)

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