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Philippe Couillard affirme qu'il sera prêt pour une élection dès l'automne

Philippe Couillard affirme qu'il sera prêt pour une élection dès l'automne
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MONTRÉAL - Le chef du Parti libéral du Québec (PLQ), Philippe Couillard, affirme que son parti et lui-même seront prêts pour une élection générale dès l'automne prochain.

«Nous ne sommes pas limités nécessairement au printemps 2014 ou à 2015», a déclaré M. Couillard à la presse à la suite d'une allocution devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, vendredi.

«À partir de l'automne, nous devrions avoir assez de lignes directrices du programme électoral, assez d'organisation de terrain pour affronter une campagne électorale s'il le faut», a-t-il ajouté.

Il a toutefois rappelé que, pour qu'une élection ait lieu, il faudrait que les partis d'opposition — le PLQ et la Coalition avenir Québec en l'occurrence — s'entendent pour défaire le gouvernement péquiste minoritaire ou que la première ministre Pauline Marois décide elle-même de la déclencher. Dans un cas ou l'autre, M. Couillard a répété que sa formation sera prête.

Quant au fait de susciter la grogne de la population en l'envoyant aux urnes à peine un an après l'élection du Parti québécois, M. Couillard soutient que ce mécontentement s'efface habituellement dans les premiers jours d'une campagne, les électeurs reconnaissant l'importance du choix démocratique qu'ils doivent faire.

Si une élection devait avoir lieu à l'automne, celle-ci devrait toutefois être déclenchée tôt en septembre ou à la mi-novembre puisque les élections municipales, qui risquent de susciter beaucoup d'attention cette année, auront lieu le 3 novembre à la suite de campagnes qui se dérouleront durant le mois d'octobre.

«Ce serait peu probable qu'il y ait une élection provinciale en même temps qu'il y a une campagne municipale. Tout le monde s'entend là-dessus», a indiqué le chef libéral.

Gouvernance de Montréal

Devant les membres de la Chambre de commerce, et plus tard en point de presse, Philippe Couillard a reconnu que le temps était venu de revoir la gouvernance de la métropole.

Le chef libéral a dit croire que la Charte de Montréal devrait être revue afin d'assainir la relation entre le gouvernement provincial et la métropole, de manière à ce que celle-ci ne soit plus obligée de passer par Québec pour tous les changements qui la concernent, incluant ceux touchant la gouvernance.

«Il faut tirer des leçons du passé et laisser les Montréalais décider de leur gouvernance avec un niveau de responsabilité et d'autonomie qui leur permet de le faire dans une relation plus adulte avec le gouvernement du Québec», a-t-il indiqué.

Selon lui, Montréal et Québec devraient suivre l'exemple de la relation particulière existant entre Toronto et Queen's Park, qui a été redéfinie selon ces axes.

Bien qu'il estime comme plusieurs qu'il faudrait réduire le nombre d'élus à Montréal, qui en compte 103 comparativement à 44 à Toronto, il refuse de faire de la révision de la gouvernance une affaire de mathématique.

«La façon dont ce débat de gouvernance a été lancé au cours des dernières semaines, c'est un genre de concours à qui va descendre le plus le nombre d'arrondissements et de conseillers, a déploré M. Couillard. Ce n'est pas ça la vraie question. Ça, c'est la fin de la conversation.»

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Le gouvernement Marois se dit fermement déterminé à serrer la vis aux récidivistes de l\'alcool au volant. Dorénavant, le véhicule du fautif sera confisqué dans tous les cas, et retiré définitivement au contrevenant s\'il s\'agit d\'une troisième infraction ou davantage. (credit:Shutterstock)
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Dorénavant, le maximum permis de contribution à un parti, à un député indépendant ou à un candidat indépendant autorisé est de 100 $. Il s\'agit là d\'un volet de la loi modifiant la loi électorale qui vise à réduire les contributions par électeur, à diminuer le plafond des dépenses électorales et à rehausser le financement public des partis politiques.\n\nLe montant des dépenses électorales permises pendant une élection générale a également été réduit, il passe de 11,5 millions $ à 8 millions $. Le projet de loi 2 du PQ a été adopté le 6 décembre à l\'Assemblée nationale. (credit:Alamy)
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Le Parti québécois applique les freins sur une promesse formulée par le Parti libéral il y a quelques mois: il ne fera pas passer de 5 à 10 cents la consigne des canettes de bière et de boissons gazeuses — pour l\'instant, du moins. (credit:Alamy)
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Maka Kotto a convoqué, à Montréal, tous ses conseillers en poste à l\'étranger, et ce pendant une semaine aux frais des contribuables. La décision controversée du ministre de la Culture a été prise sans véritable justification et contre l\'avis de ses hauts fonctionnaires, en pleine période de compressions. La visite aura coûté au bas mot plus de 64 000 $. (credit:CP)
La nomination de Nicolas Girard à la tête de l'AMT fait jaser(20 of38)
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La nomination de l\'ancien député péquiste Nicolas Girard au poste de président-directeur général de l\'Agence métropolitaine de transport (AMT) fait sursauter les partis d’opposition, qui dénoncent une nomination partisane. En décembre, la CAQ reviendra à la charge en demandant la démission de M. Girard après que Paul Côté, l’ex-directeur par interim de l’agence, eut été nommé directeur adjoint. (credit:CP)
La loi 1 sur l'intégrité est adoptée(21 of38)
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Cette loi a été la première annoncée par Pauline Marois en novembre, après son arrivée au pouvoir. La loi 1 prévoit que, pour soumissionner sur des appels d\'offres du secteur public, les entreprises et leurs sous-traitants devront obtenir un «certificat de bonnes moeurs» qui atteste de leur probité. (credit:Radio-Canada)
Le Québec entend se doter de son propre registre des armes à feu(22 of38)
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Dans une déclaration en Chambre et à l\'occasion du 23e anniversaire de la tuerie de l\'École Polytechnique, le ministre de la Sécurité publique, Stéphane Bergeron, a exprimé l\'intention ferme du gouvernement du Parti québécois de prendre le relais d\'Ottawa dans ce dossier. (credit:Alamy)
Les partis s'entendent sur le placement syndical(23 of38)
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Le gouvernement péquiste, le Parti libéral et la Coalition avenir Québec en sont venus à une entente pour régler le vide dans lequel se trouve le système de placement de la main-d\'oeuvre sur les grands chantiers de construction.\nLa loi qui abolit le placement syndical est en vigueur, mais le nouveau Service de référence de la main-d\'oeuvre de l\'industrie de la construction n\'entrera en vigueur qu\'en septembre 2013. (credit:Radio-Canada)
André Boisclair renonce à son poste de sous-ministre(24 of38)
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Admettant qu\'elle avait sous-estimé la nécessité de changement dans la façon de gouverner, la première ministre Pauline Marois annonce qu\'elle a convenu avec André Boisclair qu\'il abandonnera sa permanence dans la fonction publique.\nLa double nomination dont avait bénéficié M. Boisclair avait suscité la controverse. En plus de son poste de délégué général du Québec à New York, M. Boisclair avait aussi été nommé sous-ministre adjoint. (credit:CP)
Québec veut resserrer la loi 101(25 of38)
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Le gouvernement dépose son projet de loi 14 modifiant la Charte de la langue française et la Charte des droits et libertés de la personne.\nLe projet de loi fait de l\'usage du français un droit inclus dans la Charte québécoise des droits et libertés et modifie les obligations de certaines entreprises.\n\nLa loi 101 ne sera par ailleurs pas imposée aux cégeps. Les écoles passerelles ne seront pas abolies, mais les critères d\'admission seront resserrés. (credit:CP)
Pauline Marois nomme Blanchet à l'Environnement(26 of38)
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Après moins de trois mois au pouvoir, la première ministre Pauline Marois a déjà remanié légèrement son conseil des ministres en nommant le député de Johnson, Yves-François Blanchet, ministre du Développement durable et de l\'Environnement pour succéder à Daniel Breton. \nElle a aussi ramené au cabinet la députée de Joliette, Véronique Hivon, qui occupera ses anciennes fonctions de ministre déléguée aux Services sociaux et à la Protection de la jeunesse, auxquelles elle avait dû renoncer temporairement pour des raisons de santé. (credit:CP)
Budget adopté de justesse(27 of38)
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Le gouvernement minoritaire de Pauline Marois a survécu, mais de justesse, à un premier test alors que le budget Marceau a été adopté par une seule voix de majorité à l\'Assemblée nationale.\n\nAprès 25 heures d\'étude, les parlementaires ont voté sur le budget, et 49 élus péquistes se sont prononcés en faveur, 48 députés de l\'opposition ont voté contre et il n\'y a eu aucune abstention. Au moment du vote, il y avait en Chambre 97 députés sur une possibilité de 125. (credit:CP)
Daniel Breton démissionne(28 of38)
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Le passage au gouvernement de Daniel Breton aura duré 71 jours. Rattrapé par des loyers impayés et des infractions au code de la route, le militant écologiste a dû renoncer à ses fonctions de ministre de l\'Environnement. M. Breton a été au centre de nombreuses controverses, notamment à la suite d\'allégations d\'ingérence dans les activités du Bureau d\'audiences publiques en environnement (BAPE). (credit:CP)
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Pauline Marois participe à son premier Conseil de la fédération à Halifax, sous le thème de l’économie. Elle annonce, entre autres, qu’un comité sera chargé d\'évaluer si le Québec tirerait avantage d\'un projet d\'oléoduc, projet qui permettrait à l\'Alberta d\'acheminer du pétrole des sables bitumineux jusqu\'à Montréal. (credit:CP)
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Dure journée pour Hydro-Québec: le gouvernement Marois ordonne à la société d\'État de supprimer 2000 postes et réduit substantiellement la hausse tarifaire décidée en 2010 par les libéraux.\nQuébec demande également des efforts à Loto-Québec et à la Société des alcools (SAQ). (credit:CP)
Un sommet sur l'enseignement supérieur(31 of38)
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À l\'issu du Sommet sur l\'enseignement supérieur, qui s\'est tenu les 25 et 26 février 2013, le gouvernement a adopté l\'indexation annuelle de 3% des droits de scolarité. (credit:PC)
Discours inaugural et lutte contre la corruption(32 of38)
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La première ministre Pauline Marois promet de faire un grand ménage et de ramener l\'intégrité à tous les niveaux de l\'administration publique. (credit:CP)
Visite en France(33 of38)
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Mme Marois effectue une visite de travail en France, où elle rencontre notamment le président, François Hollande. Il ne s\'agit pas d\'une visite officielle (faite en alternance), mais plutôt d\'une prise de contact entre le nouveau pouvoir socialiste et les souverainistes fraîchement élus. (credit:CP)
Marois refuse de rencontrer le président Kabila(34 of38)
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La première ministre du Québec est en République démocratique du Congo (RDC), où a lieu le 14e Sommet de la francophonie. Mme Marois rejette tout entretien privé avec l\'hôte de la rencontre, le président Joseph Kabila, en raison de son sombre bilan en matière de droits de la personne. (credit:CP)
Recul sur la taxe santé et les impôts rétroactifs(35 of38)
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Le gouvernement choisit de ne pas abolir la taxe santé, mais plutôt de la rendre progressive, et cela à partir de 2013. Au chapitre de l\'impôt des particuliers, le ministre des Finances Nicolas Marceau abandonne l\'idée de hausser de façon rétroactive les impôts des mieux nantis. (credit:CP)
La hausse des droits de scolarité est annulée et Gentilly-2 sera fermée(36 of38)
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La première ministre annule, par décret, la hausse des droits de scolarité décidée par l\'ancien gouvernement libéral. Par ailleurs, la première ministre réaffirme l\'engagement du Parti Québécois de procéder à la fermeture de la centrale nucléaire Gentilly-2. (credit:CP)
Gaz de schiste: non pour toujours(37 of38)
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À peine nommée ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet n\'attend pas la première séance du conseil des ministres pour donner son opinion. L\'exploitation des gaz de schiste ne sera jamais sécuritaire, selon elle. Elle réserve ainsi un enterrement de première classe à la position du gouvernement libéral précédent. (credit:CP)
Présentation du Conseil des ministres(38 of38)
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En ce 19 septembre 2012, le nouveau gouvernement péquiste est formé.\nIl est toutefois bien loin d\'atteindre l\'objectif de parité, avec 23 ministres, dont huit femmes et 15 hommes. (credit:CP)

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