Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Pour la journée internationale pour la santé des femmes, 5 symptômes inattendus qu'elles ne devraient pas ignorer

Journée internationale pour la santé des femmes: 5 symptômes à ne pas ignorer
|

Notre corps nous envoie toutes sortes de signaux quand quelque chose ne va pas.

À l'occasion de la journée internationale pour la santé des femmes, voici un petit tour d’horizon de ceux dont vous ne soupçonniez sans doute pas l’importance.

Symptôme: Des vertiges après le sport.
lzf/Thinkstock
Dans le meilleur des cas: Un problème d’oreille interne ou une congestion des sinus, à moins que nous n’ayez juste un peu trop poussé pendant votre dernière séance d’entraînement.

Ce que cela peut cacher: Si vous buvez bien, que la température est raisonnable (pas de chaleurs énormes, ni d’humidité) ou que l’activité en question ne vous avait encore jamais causé souci, vous avez peut-être un souci cardiaque. Soit une arythmie, soit un problème avec les valves qui font circuler le sang dans votre cœur. "Votre cœur n’arrive pas à envoyer assez de sang dans le reste de votre corps, d’où la sensation de vertige", explique le docteur Leslie Cho, chef du service cardiologie féminine de la clinique de Cleveland. L’arythmie est assez commune et n’entraîne aucun risque la plupart du temps, mais certains problèmes spécifiques, comme la fibrillation auriculaire, peuvent augmenter le risque d’AVC ou de crise cardiaque. Idem pour les troubles valvulaires: certains ne causent pas de problèmes très importants, mais les plus graves peuvent augmenter les probabilités d’AVC, de crise cardiaque ou de thrombose. Alors si vous avez des vertiges inexpliqués, consultez un spécialiste de médecine interne.
Symptôme: Des diarrhées en pleine nuit.
Oleksiy Maksymenko/Getty Images
Dans le meilleur des cas: Si ce n’est arrivé qu’une fois, c’est probablement juste un petit dérangement bénin.

Ce que cela peut cacher: "Selon moi, la diarrhée nocturne est toujours un signe d’alerte", déclare le Dr Rebekah Gross, gastro-entérologue au Centre Joan H. Tisch de médecine féminine du centre médical Langone, à l’université de New York. La nuit, vos intestins sont censés être détendus, parce que vous dormez et que vous ne mangez pas quelque chose qui pourrait provoquer un souci. "Même les troubles fonctionnels intestinaux ne devraient pas vous réveiller comme ça", ajoute-t-elle. Si vous devez régulièrement vous lever pour filer aux toilettes, il s’agit peut-être d’un problème plus grave, comme une infection, une maladie inflammatoire de l’intestin, une colite ulcéreuse ou un problème neurologique de l’intestin. Un gastro-entérologue pourra vous aider à trouver la raison de ce dérèglement.
Symptôme: Votre cycle menstruel est régulier, mais vous devez changer de tampon toutes les heures.
Gettystock
Dans le meilleur des cas: En fait, il n’y en a pas. Ce n’est jamais normal d’avoir des pertes si importantes qu’elles nécessitent de changer de tampon aussi fréquemment, ou de changer de serviette la nuit, selon le Dr Vanessa Jacoby, maître de conférence dans le département obstétrique, gynécologie et sciences de la reproduction de l’université de Californie, à San Francisco.

Ce que cela peut cacher: Les causes les plus probables de règles régulières mais excessivement abondantes sont les fibromes utérins, des tumeurs qui se développent dans les parois de l’utérus et touchent 20 à 80% des moins de 50 ans. Ils sont bénins, mais peuvent avoir des conséquences sérieuses, telles que l’anémie (certaines femmes ont même besoin de transfusions sanguines, d’après le Dr Jacoby) ou une fatigue sévère. Selon leur emplacement et leur taille (qui va de celle d’un petit pois à celle d’une pastèque), ils peuvent diminuer les chances de tomber enceinte et augmenter le risque de complications pendant la grossesse. Les saignements abondants peuvent aussi provenir d’un problème de thyroïde ou de coagulation. Avant de commencer tout traitement, votre gynécologue s’assurera donc qu’un fibrome est bien la cause de vos symptômes, probablement à l’aide d’une échographie pelvienne. Si c’est le cas, divers traitements sont possibles: des médicaments, une opération qui vise à enlever les fibromes tout en laissant l’utérus intact, ou une hystérectomie, démarche la plus recommandée par les médecins.
Symptôme: Une perte de poids importante et involontaire.
TommL/Getty Images
Dans le meilleur des cas: Perdre du poids de manière réellement involontaire est presque toujours mauvais signe, selon le Dr Gross. Cela peut être dû à un problème sérieux (mais rarement mortel en lui-même) comme la maladie de Crohn, qui empêche votre corps d’absorber correctement les nutriments. Si vous urinez aussi plus fréquemment, il s’agit peut-être d’un diabète de type 1, qui touche le plus souvent les enfants et les jeunes adultes mais peut survenir à n’importe quel âge. Dans ce cas, vos cellules n’arrivant pas à obtenir le sucre dont elles ont besoin pour produire de l’énergie, votre corps brûle des graisses et des muscles, ce qui provoque un amincissement involontaire.

Ce que cela peut cacher: Une perte inexpliquée de plus de cinq kilos peut être le premier signe d’un cancer, notamment du pancréas, de l’estomac, de l’œsophage ou du poumon. Pour se développer, une tumeur cancéreuse se sert de l’énergie de notre corps, ce qui peut expliquer cette chute de poids. Si votre poids normal a diminué d’au moins cinq kilos dans les six à douze derniers mois, et que vous n’avez vraiment rien changé à votre activité physique ni à vos habitudes alimentaires, parlez-en à votre médecin. Tout particulièrement si vous avez des facteurs de risque, pour les fumeurs par exemple.
Symptôme: Une vision en baisse.
Larry Washburn/Getty Images
Dans le meilleur des cas: Si les multiples écrans dont vous vous servez entraînent une gêne, c’est probablement dû aux habituels problèmes de vision liés à l’âge. La plupart des gens commencent à avoir du mal à voir de près à partir de la quarantaine, selon l’Association américaine d’optométrie.

Ce que cela peut cacher: Une perte de vision périphérique soudaine et indolore peut être le symptôme d’un AVC, selon le Dr Emily Graubart, professeur adjoint d’ophtalmologie au centre optique d’Emory. Les femmes sont davantage susceptibles de faire un AVC que les hommes, et ce problème ne touche pas seulement les personnes âgées: entre 1988 et 2004, le taux d’AVC chez les femmes de 35 à 54 ans a triplé. Faites également attention aux corps flottants dans l’œil. En avoir de temps en temps, quelques fois par semaine, est tout à fait normal, mais s’ils sont plus fréquents et plus importants, et tout particulièrement s’ils sont associés à des éclairs de lumière, vous risquez de souffrir d’un décollement de la rétine, ce qui peut entraîner une perte de vision permanente en l’absence de traitement rapide. Une étude de la revue médicale JAMA a constaté que 14% des patients qui consultaient un ophtalmologue à cause de corps flottants ou d’éclairs de lumière souffraient en fait d’un décollement de la rétine.

Cet article, publié à l’origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Guillemette Allard-Bares pour Fast for Word.

VOIR AUSSI:

7 femmes partagent les joies et les peines de la grossesse
(01 of27)
Open Image Modal
(credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(02 of27)
Open Image Modal
“J’adore que mon mari me dise que je suis une mère exceptionnelle, même quand le ménage n’est pas fait et que le dîner est trop cuit. Je trouve ça tellement plus important que de l’entendre me dire que je suis sexy, intelligente ou magnifique.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(03 of27)
Open Image Modal
“Âge avancé pour une maternité. Procréation tardive. Voilà les termes que j’associe à la grossesse, puisque j’ai eu mon premier enfant à 35 ans et le second à 38. Je n’aurais jamais pensé que nous attendrions ‘si longtemps’, ni que le seul protocole que je connaîtrais serait celui que l’on applique aux femmes enceintes d’un certain âge.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(04 of27)
Open Image Modal
“J’aime mon corps, mon ventre rond, mes vergetures, mes rondeurs, mes imperfections, mon homme attentionné, ma famille et mes amis qui me soutiennent, et je ne me laisserai plus abattre par ce que pensent les autres. Je suis belle, forte et intelligente.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(05 of27)
Open Image Modal
“Je me sens belle quand je suis enceinte! En temps normal, j’ai plutôt honte de mon corps, mais quand je sais qu’il abrite une nouvelle vie et que je vois ce dont il est capable, il m’est plus facile de l’aimer et d’accepter mes formes.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(06 of27)
Open Image Modal
“Il n’y a aucun mal à faire le deuil de la naissance dont on rêvait. Une maman et un bébé en bonne santé, c’est important mais ce n’est pas la seule chose qui compte. Je vais bientôt accoucher de mon deuxième enfant, et j’ai peur d’avoir encore des regrets ou d’être déçue, alors je vais faire tout ce que je peux pour être fière de moi.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(07 of27)
Open Image Modal
“Quand j’ai vu que le test de grossesse était positif, j’ai pleuré, puis vomi. J’ai vu ma vie défiler et j’ai pleuré comme si je venais de perdre une partie de moi. L’idée de me réjouir de cette grossesse ne m’a même pas traversé l’esprit. La deuxième fois que j’ai découvert que j’étais enceinte, ma fille était encore un bébé. Elle avait besoin de moi, et moi d’elle. J’ai pleuré parce qu’il était trop tôt pour que je me consacre à un autre enfant. J’avais envie qu’elle reste toute petite et j’ai profité de chaque moment passé avec elle comme si c’était le dernier.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(08 of27)
Open Image Modal
“Ce que je préfère dans la grossesse, c’est le moment où on vous tend le bébé. Après tous les problèmes que j’ai eus, je suis extrêmement reconnaissante d’avoir pu être enceinte et donner naissance à des bébés en pleine forme. Mais je déteste quand même la grossesse, que je trouve épouvantable. Si j’en avais les moyens, je paierais quelqu’un pour porter l’enfant à ma place.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(09 of27)
Open Image Modal
“C’est difficile, quand on se promène, de voir ces femmes enceintes toute minces, avec un petit ventre parfait. Moi, j’ai l’impression d’être un vrai bibendum. Attention, j’adore mon ventre et mon copain n’arrête pas de me répéter que je suis belle, mais j’oscille constamment entre l’image négative que me renvoie la société et ce que je ressens. Pour être honnête, fabriquer un être humain n’est vraiment pas une partie de plaisir. Il y a déjà suffisamment de raisons de stresser et de s’angoisser sur les transformations de notre corps. On n’a pas besoin que la société ou de parfaits inconnus fassent des remarques désagréables sur notre physique. Au contraire, il est très important d’assumer ces superbes rondeurs.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(10 of27)
Open Image Modal
“Après la naissance de mon fils, j’ai souffert d’une stérilité secondaire pendant plusieurs années, puis j’ai fait une fausse couche à la suite d’une grossesse longtemps attendue et fortement désirée. Ma perception des grossesses suivantes s’en est trouvée modifiée. Je suis tombée amoureuse de mon fils, totalement et sans réserve, dès l’instant où j’ai vu la seconde ligne apparaître sur le test de grossesse. Je me rappelle lui avoir souvent parlé quand j’étais enceinte, pour lui dire combien je l’aimais et à quel point j’avais hâte de le rencontrer.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(11 of27)
Open Image Modal
“Tout le monde a un avis sur la façon dont vous devez accoucher et élever votre enfant, mais vous êtes la seule à savoir ce qui est mieux pour lui.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(12 of27)
Open Image Modal
“J’ai l’impression que celles qui ne sont jamais tombées enceintes ne se rendent pas compte à quel point ces neuf mois peuvent être éprouvants. Il y a bien sûr des mères qui adorent être enceintes, mais il y a énormément d’interdits et de désagréments, sans oublier l’inquiétude, l’angoisse, l’excitation et le stress.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(13 of27)
Open Image Modal
“Personne ne vous prévient que vous avez vraiment peur d’aller aux toilettes après l’accouchement, ni que vous portez encore votre blouse d’hôpital quand vous quittez la maternité.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(14 of27)
Open Image Modal
“Je ne me suis jamais laissée aller à éprouver des sentiments aussi profonds pour quelqu’un d’autre, à aimer quelqu’un plus que sa propre vie en étant prête à tout sacrifier. Ça m’a toujours fait peur et je m’en suis bien gardée. (…) Le fait de devenir mère a fait renaître en moi un sentiment d’amour incommensurable. J’ai fini par m’ouvrir et accepter un bonheur que je n’aurais jamais pensé connaître : l’amour maternel.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(15 of27)
Open Image Modal
“Ce que j’ai trouvé vraiment incroyable — surtout au cours de cette deuxième grossesse —, c’est le soutien que m’ont apporté les femmes de mon entourage. Notamment mes amies et les membres de ma famille qui ont déjà des enfants. La première fois, j’étais certaine de tout savoir et je refusais obstinément qu’on me donne des conseils ou que l’on fasse preuve de compassion à mon égard. Cette fois, être entourée de ma tribu, qui a elle aussi sacrifié à ce rite de passage, m’a énormément réconfortée.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(16 of27)
Open Image Modal
“Voir mon bébé me regarder dans les yeux pour la première fois a été le moment le plus effrayant de toute ma vie. J’étais confrontée au véritable amour, incapable de contrôler mes émotions envers cette petite créature que je tenais contre moi. Je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse exister entre elle et moi un lien aussi fort et un amour aussi inconditionnel.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(17 of27)
Open Image Modal
“Avant d’être enceinte, je n’ai jamais vraiment fait attention à ce que je mangeais, ou aux produits de beauté que j’utilisais. Je ne me suis jamais demandé en quoi les lotions, les déodorants et les aliments transformés pouvaient influer sur ma santé. (…) Dès l’instant où j’ai appris qu’un enfant grandissait en moi, j’ai compris que mes choix auraient un effet permanent sur mes enfants.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(18 of27)
Open Image Modal
“Ma fille est venue par césarienne après cinq jours de travail. Je n’en voulais pas mais mon corps a tenu bon. Ce corps qui a subi des opérations, des tumeurs et une énorme perte de poids ne m’a pas lâchée. Je n’ai peut-être pas vécu une naissance idéale, mais en me donnant cette magnifique petite fille aux yeux bleus, drôle et intelligente, mon corps a fait tout ce que j’attendais de lui. Nous sommes toutes les deux en vie et aucune cicatrice ni aucun traitement n’y changeront quoi que ce soit.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(19 of27)
Open Image Modal
“J’ai toujours eu peur d’aimer de toutes mes forces, mais la maternité m’a obligée à affronter l’amour suprême qu’on peut éprouver pour quelqu’un d’autre, le genre d’amour que j’ai passé ma vie à fuir. Les sentiments que j’ai occultés pendant si longtemps décident aujourd’hui de mes moindres gestes, réactions et pensées. Tout ce qui m’importe, c’est être la meilleure mère possible et donner tout ce que j’ai à mon enfant.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(20 of27)
Open Image Modal
“Au début de cette grossesse, j’ai été victime d’hémorragies et de crampes. Après une échographie précoce qui ne décelait aucun rythme cardiaque et des analyses de sang indiquant une hausse, très modérée, de mon taux de HCG, j’étais persuadée que j’allais faire une fausse couche. Heureusement, une semaine plus tard, une autre échographie nous a permis de voir un minuscule cœur qui battait. Je suis aujourd’hui dans ma 34e semaine, et je suis ravie d’être enceinte d’un bébé très actif et en pleine forme.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(21 of27)
Open Image Modal
“Après une fausse couche à 12 semaines en octobre, j’étais effondrée et je pensais que je ne pourrais plus jamais être enceinte. Surtout un mois à peine après mon curetage. (…) Mais Bradley, mon petit mec ‘arc-en-ciel’ a décidé qu’il voulait se joindre à nous, et il nous a fait le plus beau des cadeaux. J’étais super excitée et nerveuse, mais j’ai essayé de rester positive. J’étais loin de me douter que les neuf mois suivants allaient représenter un véritable enfer et me pousser plus d’une fois dans mes retranchements. À huit semaines de grossesse, on m’a dit que je souffrais d’hyperémèse. Je vomissais au moins trente fois par jour et j’étais déshydratée à en tomber dans les pommes. On aurait dit qu’ils avaient réservé une chambre juste pour moi à l’hôpital.” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(22 of27)
Open Image Modal
“Mon mari m’a accompagnée à la première écho. Avant même que le médecin ouvre la bouche, nous avons vu que nous attendions des jumeaux! On s’y attendait un peu, étant donné les facteurs de risque importants, les symptômes en rafale et mon taux très élevé de HCG, mais on a mis un moment à se faire à cette idée!” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(23 of27)
Open Image Modal
“En 2009, on a découvert une excroissance dans mon abdomen. Mon ovaire gauche était très gros et devait, à cause d’un ancien cancer des ovaires, être enlevé. J’ai ensuite eu une endométriose assez sévère qui m’a fait craindre de ne jamais pouvoir tomber enceinte. Un an plus tard, je me suis mariée et on a essayé de faire un bébé. Il m’a fallu six mois et du Clomid pour y arriver, mais la grossesse s’est interrompue à seize semaines. Après avoir récupéré, nous avons ressayé et je suis retombée enceinte au bout de sept mois, en prenant d’autres médicaments. Celle-ci s’est terminée à douze semaines. Quinze mois après, je suis tombée enceinte de ma fille. C’était une grossesse à risque et j’ai été surveillée de près, avec des échographies mensuelles qui ont montré qu’elle était en bonne santé. Et puis elle est venue au monde! Mais ce qu’on n’avait absolument pas prévu, c’est que je retomberai enceinte sept mois plus tard, d’une deuxième fille qui est, elle aussi, en pleine forme. Au bout de quatre ans, et après deux fausses couches, j’aurai donc donné naissance à deux petites filles à quatorze mois d’intervalle et je n’en reviens toujours pas!” (credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(24 of27)
Open Image Modal
(credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(25 of27)
Open Image Modal
(credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(26 of27)
Open Image Modal
(credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
(27 of27)
Open Image Modal
(credit:The Honest Body Project/Natalie McCain)
-- Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.