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Quartier latin : Le Bordel Comédie Club est ouvert! (VIDÉO)

Quartier latin : Le Bordel Comédie Club est ouvert!
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Bienvenue au Bordel! Un nouvel endroit où batifoler entre adultes consentants? Certainement. Mais pas pour les esprits libidineux à la cuisse légère ; plutôt pour les amateurs d’humour, qui ont envie de rire un coup dans une ambiance intime, en toute proximité, et de connaître de nouveaux visages.

On savait depuis quelques semaines que Louis-José Houde, François Bellefeuille, Laurent Paquin, Martin Petit, Mike Ward et Charles Deschamps s’étaient associés pour lancer un nouveau bar-spectacle. Leur rêve est maintenant réalité : l’ouverture officielle du Bordel Comédie Club se tenait mardi matin, et une indescriptible cohue animait les lieux, tant les curieux désireux de découvrir les moindres recoins de ce nouveau repaire étaient nombreux. Sans mauvais jeu de mots, il fallait jouer du coude pour se déplacer dans ce joyeux bordel. Compte tenu de cet engouement palpable en plein avant-midi de semaine, on ne s’étonnera pas d’apprendre que plusieurs soirées affichent déjà complet.

Nouveaux talents

C’est du mercredi au samedi (deux représentations auront lieu le vendredi et le samedi, entre 19h et 23h) que le Bordel Comédie Club prendra vie, dès ce week-end. Sur scène, un animateur introduira cinq invités, consacrés ou en voie de le devenir. Les personnalités connues y testeront du matériel inachevé - souvent en milieu de semaine - tandis que les recrues de la relève y exerceront leur style et utiliseront la tribune comme fenêtre de visibilité. Ici, pas de mise en scène flamboyante ou d’éclairages sophistiqués ; les amuseurs seront seuls avec leur micro pour faire réagir la petite foule.

«Après l’École nationale de l’humour, la façon de réellement devenir un humoriste, c’est en faisant des shows, a plaidé Mike Ward, un habitué des comedy club anglophones. Moi, je rode toujours mon contenu dans les bars. Ça fait des années que je le fais, et j’essaie d’expliquer aux producteurs et aux diffuseurs que c’est comme ça, que l’humour vient au monde. Ici, on va découvrir de nouveaux talents!»

Mariana Mazza, Phil Roy, Virginie Fortin, Mario Tessier, Yannick De Martino, Daniel Grenier, Guillaume Wagner, Korine Côté, Louis T, Alexandre Barrette, Katherine Levac, Martin Vachon et François Bellefeuille doivent tous aller faire un saut au Bordel prochainement. Chez les animateurs, les noms de Mike Ward, Adib Alkhalidey et Benoît Lefebvre ont déjà été confirmés. Attention, toutefois : les dates de passage de tout ce beau monde ne seront jamais annoncées à l’avance. Les spectateurs ne verront qu’une fois sur place qui les divertira dans les 90 minutes suivantes. Il en coûte 15$ pour assister aux prestations du Bordel Comedy Club. Un premier essai, très concluant, a été tenté lundi, et a gonflé à bloc encore davantage le groupe d’investisseurs, qui était sollicité de toutes parts, mardi.

Association d’affaires

Le Bordel est en fait une partie du Pub Quartier Latin, au coin des rues Sanguinet et Ontario, que les six humoristes à la tête du projet ont acquise dans une association d’affaires et ont complètement rénovée. Le Bordel Comédie Club est séparé en deux portions distinctes : d’un côté, on peut se rafraîchir au bar de forme ovale - l’endroit est d’ailleurs réservé aux 18 ans et plus - et, de l’autre, dans la petite salle aux murs de brique abritant 110 personnes, avec banquettes sur les côtés et tables au milieu, on rigole avec les artistes, on boit et on déguste frites, sandwichs et autres bouchées apportées par les serveurs. Il était moins compliqué pour les six dirigeants de s’acoquiner à un établissement déjà existant, notamment pour les questions de permis d’alcool.

Un escalier en colimaçon mène à l’étage du haut, aux loges, aménagées pour le plus grand confort des humoristes invités. Si l’enseigne extérieure annonçant le Bordel Comédie Club, près de la porte, est plutôt discrète, à l’intérieur du cabaret, on constate rapidement où on est, notamment grâce aux photos en noir et blanc de François, Louis-José, Martin, Mike, Laurent et Charles accrochées au mur du fond. Toute la décoration du Bordel est une signature de l’entreprise Comtois Design.

«On voulait vraiment recréer l’ambiance des bordels des années 30 et 40, même si on n’en a jamais visités», a blagué François Bellefeuille, qui est à l’origine de toute cette grande opération et qui a approché ses camarades un à un pour les impliquer dans l’aventure.

«Pas mal tous les humoristes étaient d’accord pour dire qu’il manquait un comedy club en français, à Montréal, a précisé Bellefeuille.

Plusieurs avaient déjà eu l’idée, et moi, j’ai simplement eu la persévérance que ça aboutisse. Je suis un gars de gang, j’aime les comedy club, j’adore y jouer ou en fréquenter comme spectateur. L’an dernier, j’ai été au Comedy Cellar de New York, qui ressemble beaucoup à notre Bordel. On voulait recréer l’ambiance d’un comedy club, et on l’a. Le rire est fort et contagieux, ici. Quand les rires sont bons, les humoristes sont meilleurs sur scène.»

«Ça fait 12 ou 13 ans que j’ai la chance de me produire dans de grandes salles, mais je suis toujours resté amoureux du format club, a renchéri Louis-José Houde. C’est une clientèle qui ne va pas nécessairement voir des shows à la Place des Arts ou au Théâtre St-Denis, et qui préfère, pour 15$, voir cinq humoristes qui vont faire chacun 15 minutes. Le sentiment de jouer devant 100 personnes est très agréable, l’improvisation est plus facile, le ping-pong avec le public est très efficace.»

Nuire aux cinémas?

Certains comiques pourraient-ils craindre qu’un ou deux arrêts au Bordel nuise à leurs ventes en tournée? Mike Ward n’est pas de cet avis.

«On ne sera pas en compétition avec les shows d’humour et les soirées d’humour, mais plutôt avec les cinémas, a-t-il hasardé. On demande environ le même prix qu’il en coûte pour un film et on est actifs dans les mêmes heures.»

«Comparativement à un one man show, dans un comedy club, on voit cinq humoristes, cinq univers différents, autant des vedettes que les meilleurs de la relève. C’est une façon d’assister aux premiers balbutiements des futurs grands humoristes. Il y a quelque chose de magique, là-dedans! Ce n’est pas juste une question d’être près des gens ; toute la sonorité est différente, dans une salle comme celle-là. Il faut le vivre pour le comprendre! On espère que le Bordel va devenir un endroit mythique», a conclu Charles Deschamps, fraîchement diplômé, depuis le printemps dernier, de l’École nationale de l’humour, propriétaire du bar Le Jockey, dans Rosemont-Petite-Patrie, que les cinq autres comparses sont allés chercher pour son expérience en gestion de cabaret, et qui n’a aucun lien de parenté avec Yvon Deschamps. Charles, dont le style de gags se fonde beaucoup sur le malaise, a été le premier à inaugurer le Bordel Comédie Club, hier.

Le Bordel Comédie Club, 312, rue Ontario Est, Montréal. Consultez le www.lebordel.ca pour acheter des billets et en savoir plus.

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L’un des chouchous des Québécois, Stéphane Rousseau, se ramène au Québec après une série de représentations en France, présentement en cours. Là-bas, le nouveau spectacle de l’humoriste et comédien, son sixième, dont la première avait lieu le 18 novembre dernier au Théâtre du Palais-Royal de Paris, s’intitule Stéphane Rousseau brise la glace, et le principal intéressé l’aura présenté une centaine de fois chez nos cousins lorsqu’il renouera avec le public de la Belle Province. Ici, l’œuvre portera le titre Un peu princesse. Jusqu’en 2016, Stéphane Rousseau effectuera ensuite des allers et retours entre le Québec, la France, la Belgique et la Suisse. Son nouveau matériel prend la forme d’une confession dans laquelle l’homme parle de ses craintes et ses angoisses, avec la répartie qu’on lui connaît. Entouré de musiciens, il promet une expérience originale, électro-pop-rock-humoristique live.À Montréal, au Théâtre St-Denis, du 22 au 25 avrilÀ Québec, à la Salle Albert-Rousseau, le 26 mai et les 25 et 26 juinwww.stephane-rousseau.com
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