(01 of24)
Open Image ModalDans ce photoreportage, notre photographe Alice Chiche vous invite à visiter les coulisses de l'Assemblée nationale. (credit:Alice Chiche)
(02 of24)
Open Image ModalCyrille Duquet, célèbre horloger, inventeur et bijoutier a installé l’horloge en haut de la tour de l’hôtel du Parlement dès la fin de la construction de l’édifice en 1888. (credit:Alice Chiche)
(03 of24)
Open Image ModalAndré Viger est horloger depuis 55 ans. Selon lui, «c’est l’une des horloges mécaniques les plus précises de plus de 100 ans». Car cette dernière n’a rien d’électrique dans son mécanisme: «elle n’a subi aucune transformation depuis sa première installation en 1881». (credit:Alice Chiche)
(04 of24)
Open Image ModalL’horloge a aujourd’hui 135 ans et « donne l’heure à 15 secondes près par semaine », explique André Viger qui vient chaque mardi, depuis 35 ans, remonter l’horloge. À chaque fois qu’il y a un changement d’heure, l’horloger grimpe les dizaines de marches de l’escalier en colimaçon au milieu de la nuit pour avancer l’heure manuellement. (credit:Alice Chiche)
(05 of24)
Open Image ModalSeule une erreur humaine pourrait endommager l’horloge ou bien la destruction de la tour qu’elle surplombe. (credit:Alice Chiche)
(06 of24)
Open Image ModalLes locaux du premier ministre, Philippe Couillard, sont situés dans l’édifice Honoré-Mercier, à côté de l’Hôtel du Parlement du Québec.Sur cette photo, on peut voir Philippe Couillard attablé à un bureau offert à l’ex-premier ministre Maurice Duplessis par l’École nationale du meuble du Québec. Chaque premier ministre a utilisé ce bureau à un moment ou un autre depuis. (credit:Alice Chiche)
(07 of24)
Open Image ModalLe protocole régit l'ensemble des activités institutionnelles et protocolaires de l'Assemblée nationale. Par exemple, pour les drapeaux du Québec, le sommet des fleurs de lys doit pointer vers la droite en tout temps lorsqu’un drapeau est hissé sur une hampe. (credit:Alice Chiche)
(08 of24)
Open Image ModalLa masse représente l'autorité du président de l’Assemblée nationale et de l’institution. Le protocole qui l'entoure est très rigide. La masse repose toujours sur la Table quand la Chambre siège et elle y est déposée par le sergent d’armes. (credit:Alice Chiche)
(09 of24)
Open Image ModalQuand la masse n’est pas dans le Salon Bleu, elle est en sécurité dans un coffre-fort. Le sergent d’armes en est le gardien : son adjoint et lui sont les seuls qui ont le droit de la toucher. (credit:Alice Chiche)
(10 of24)
Open Image ModalLa masse qui est actuellement à l'Assemblée nationale a été fabriquée en 1867 par l'orfèvre Charles O. Zollikoffer. Elle est faite d’un alliage d’or et d’argent.Lorsque des simulations pour les parlements étudiants et écoliers sont organisées, c’est une masse en bois qui est déposée sur la Table. (credit:Alice Chiche)
(11 of24)
Open Image ModalLes débats parlementaires sont télédiffusés depuis 1978. Aujourd’hui, tout ce qui se passe à l’Assemblée nationale est télédiffusé. Les caméras sont des robots contrôlés à distance grâce à des fils électriques. (credit:Alice Chiche)
(12 of24)
Open Image ModalChaque caméra est reliée par des fils jusque dans le bâtiment où sont installés les employés de la télédiffusion. Le sans-fil n’est pas utilisé, car cela reste moins fiable. Il y a donc des kilomètres de fils qui passent entre les bâtiments afin de pouvoir télédiffuser convenablement les travaux de l’Assemblée nationale. (credit:Alice Chiche)
(13 of24)
Open Image ModalLa régie centrale de la mise en ondes reçoit toutes les captations de l’Assemblée nationale. Lors des sessions parlementaires, près de 70 personnes sont employées de manière régulière pour s’occuper de la télédiffusion. Le Canal de l’Assemblée nationale met en ondes plus de 2 000 heures de production allant des séances de l’Assemblée à des commissions parlementaires, aux points de presse et conférences de presse, de même que certaines activités spéciales et institutionnelles. (credit:Alice Chiche)
(14 of24)
Open Image ModalLa Tribune de la presse du Parlement du Québec est une société sans but lucratif. Elle regroupe les journalistes, caméramans, photographes, techniciens qui couvrent l’actualité parlementaire. Les membres de la Tribune de la presse sont rattachés à différentes entreprises de presse du Québec et du Canada : de la télévision, à la presse écrite, aux agences nationales, à la radio et aux médias web. (credit:Alice Chiche)
(15 of24)
Open Image ModalLes journalistes sont présents à l’Assemblée Nationale dès 1792, mais c’est en 1871 que la Tribune de la presse est reconnue de manière officielle. Il faut attendre 1958 pour que ce regroupement des journalistes devienne une société à but non lucratif. (credit:Alice Chiche)
(16 of24)
Open Image ModalMalgré la pluralité des médias couvrant aujourd’hui l’actualité parlementaire, c’est en 1959 pour que des correspondants d’une station de radio et de télévision rejoignent la Tribune de la presse.Evelyn Dumas est la première femme journaliste à être accréditée. C’était en février 1961. À cette époque, il n’y a pas encore de femme députée parmi les élus québécois. (credit:Alice Chiche)
(17 of24)
Open Image ModalLa bibliothèque de l’Assemblée nationale a une riche collection de près de 1,8 million de documents sur les thématiques du droit, de la science politique, de l'administration publique, de l'histoire et de l'économie. (credit:Alice Chiche)
(18 of24)
Open Image ModalLa bibliothèque de l’Assemblée nationale a une riche collection de près de 1 800 000 documents sur les thématiques du droit, de la science politique, de l'administration publique, de l'histoire et de l'économie. (credit:Alice Chiche)
(19 of24)
Open Image ModalLe restaurant Le Parlementaire a une capacité de 220 personnes. La salle à manger est ouverte au public du lundi au vendredi de 8 h à 14 h 30, mais est fermée aux citoyens le soir. L’horaire estival est différent du reste de l'année. (credit:Alice Chiche)
(20 of24)
Open Image ModalLe Parlementaire est un mélange entre un restaurant et une salle à manger d'hôtel. Les repas faits sur place sont offerts au public, mais également pour les députés et les membres du gouvernement. (credit:Alice Chiche)
(21 of24)
Open Image ModalTrente-six personnes travaillent au Parlementaire : vingt personnes sont en cuisine et seize au service. (credit:Alice Chiche)
(22 of24)
Open Image ModalPendant la session parlementaire, le menu change toutes les trois semaines. Mais trois repas restent à la carte toute l’année: le foie de veau, le filet de truite et l’entrecôte. L'été, les mets sont préparés selon les produits de saison et ce qui est produit dans le jardin du parlement. (credit:Alice Chiche)
(23 of24)
Open Image ModalLe jardin parlementaire en est à sa quatrième année d'existence. De nombreux produits poussent entre l’Assemblée nationale et la fontaine de Tourny : herbes aromatiques, légumes, fruits… Ce qui est planté dans ce jardin urbain est décidé de concert avec les cuisiniers. (credit:Alice Chiche)
(24 of24)
Open Image ModalQuatre Urbainculteurs s'occupent du jardin parlementaire, mais ils sont à l’œuvre également au Grand Théâtre et dans d’autres lieux de la Ville de Québec. (credit:Alice Chiche)