01_nuit_et_brouillard(01 of12)
Open Image ModalAvant les années 50, Alain Resnais a déjà derrière lui plusieurs documentaires à son actif. En 1948, il remporte l’Oscar pour son court métrage sur le peintre maudit Van Gogh. Mais c’est sans conteste avec le funeste documentaire de 32 minutes Nuit et brouillard que le réalisateur marque les consciences.\n\nÀ partir d’image d’archives qu’il rassemble et monte avec maestria, le cinéaste dévoile l’horreur des camps d’extermination nazis. On reste tétanisé et marqué à jamais par ce terrible voyage au cœur de la barbarie humaine.\n (credit:Courtoisie)
02_nuit_et_brouillard(02 of12)
Open Image ModalAvant les années 50, Alain Resnais a déjà derrière lui plusieurs documentaires à son actif. En 1948, il remporte l’Oscar pour son court métrage sur le peintre maudit Van Gogh. Mais c’est sans conteste avec le funeste documentaire de 32 minutes Nuit et brouillard que le réalisateur marque les consciences.\n\nÀ partir d’image d’archives qu’il rassemble et monte avec maestria, le cinéaste dévoile l’horreur des camps d’extermination nazis. On reste tétanisé et marqué à jamais par ce terrible voyage au cœur de la barbarie humaine.\n (credit:Courtoisie)
03_hiroshima_mon_amour(03 of12)
Open Image ModalÀ sa sortie en 1959, Hiroshima mon amour – première fiction du réalisateur – est présenté à Cannes où il ne fait pas l’unanimité. On se souvient encore du «C’est de la merde!» lancé par Marcel Achard, alors président du jury. Il sera aussitôt contredit par le juré Max Favalelli qui lui répondra sans frémir: «Non, c’est l’œuvre d’un authentique génie!». \n\nL’histoire aura bien sûr donné raison au second puisque le film qui met en scène Emmanuelle Riva et Eiji Okada sur un scénario original de Marguerite Duras est un succès aussi bien critique que public et inaugure une nouvelle aire cinématographique. \n\nEn se libérant des contraintes de la narration linéaire – une révolution! – Resnais explore la relation complexe entre image et littérature et signe une magnifique histoire d’amour pacifiste dont les traumatismes issus des ravages de la guerre sont tragiquement symbolisés par la bombe atomique.\n (credit:Courtoisie)
04_hiroshima_mon_amour(04 of12)
Open Image ModalÀ sa sortie en 1959, Hiroshima mon amour – première fiction du réalisateur – est présenté à Cannes où il ne fait pas l’unanimité. On se souvient encore du «C’est de la merde!» lancé par Marcel Achard, alors président du jury. Il sera aussitôt contredit par le juré Max Favalelli qui lui répondra sans frémir: «Non, c’est l’œuvre d’un authentique génie!». \n\nL’histoire aura bien sûr donné raison au second puisque le film qui met en scène Emmanuelle Riva et Eiji Okada sur un scénario original de Marguerite Duras est un succès aussi bien critique que public et inaugure une nouvelle aire cinématographique. \n\nEn se libérant des contraintes de la narration linéaire – une révolution! – Resnais explore la relation complexe entre image et littérature et signe une magnifique histoire d’amour pacifiste dont les traumatismes issus des ravages de la guerre sont tragiquement symbolisés par la bombe atomique.\n (credit:Courtoisie)
05_l_annee_derniere_a_marienbad(05 of12)
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06_l_annee_derniere_a_marienbad(06 of12)
Open Image ModalUne seconde œuvre maîtresse pour le réalisateur qui travaille cette fois avec l’écrivain Alain Robbe-Grillet, considéré comme le chef de file du nouveau roman. Œuvre mystérieuse, L’année dernière à Marienbad expose des personnages énigmatiques, en particulier la femme X qui ne s’exprime qu’en phrases sibyllines et incarnée par la nouvelle venue Delphine Syrig. Le film a remporté le Lion d’Or à la Mostra de Venise la même année de sa sortie.\n (credit:Courtoisie)
07_smoking_no_smoking(07 of12)
Open Image ModalAlain Resnais s’inspire d’une pièce d’Alan Ayckbourn, un auteur anglais. Sa muse Sabine Azéma est accompagnée de Pierre Arditi, des habitués du cinéma du réalisateur. Ils interprètent près de onze personnages différents. Tourné en studio dans des décors de théâtre, le diptyque, véritable exercice de style, analyse à merveille les conséquences faussement inoffensives d’un geste pourtant banal, celui d’allumer ou non une cigarette, d’où son titre.\n\nGagnant en 1994 du César du meilleur film, Smoking no smoking est une réflexion émouvante sur le temps qui passe, les regrets et la place du hasard dans les destinées humaines.\n (credit:Courtoisie)
08_smoking_no_smoking(08 of12)
Open Image ModalAlain Resnais s’inspire d’une pièce d’Alan Ayckbourn, un auteur anglais. Sa muse Sabine Azéma est accompagnée de Pierre Arditi, des habitués du cinéma du réalisateur. Ils interprètent près de onze personnages différents. Tourné en studio dans des décors de théâtre, le diptyque, véritable exercice de style, analyse à merveille les conséquences faussement inoffensives d’un geste pourtant banal, celui d’allumer ou non une cigarette, d’où son titre.\n\nGagnant en 1994 du César du meilleur film, Smoking no smoking est une réflexion émouvante sur le temps qui passe, les regrets et la place du hasard dans les destinées humaines.\n (credit:Courtoisie)
09_on_connait_la_chanson(09 of12)
Open Image ModalÉgalement grand amoureux de comédies musicales américaines, Resnais s’entoure des talentueux scénaristes-acteurs Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui. Le duo signe un scénario ludique où les dialogues sont ici remplacés par des chansons populaires comme Je suis malade, Ma gueule ou L’École est finie. \n\nAvec ses 2,5 millions d’entrées en France, cette magnifique chronique de mœurs chantée en play-back demeure le plus grand succès du cinéaste et vaut à l’interprète André Dussollier le César du meilleur acteur en 1998.\n (credit:Courtoisie)
10_on_connait_la_chanson(10 of12)
Open Image ModalÉgalement grand amoureux de comédies musicales américaines, Resnais s’entoure des talentueux scénaristes-acteurs Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui. Le duo signe un scénario ludique où les dialogues sont ici remplacés par des chansons populaires comme Je suis malade, Ma gueule ou L’École est finie. \n\nAvec ses 2,5 millions d’entrées en France, cette magnifique chronique de mœurs chantée en play-back demeure le plus grand succès du cinéaste et vaut à l’interprète André Dussollier le César du meilleur acteur en 1998.\n (credit:Courtoisie)
11_aimer_boire_et_chanter(11 of12)
Open Image Modalphotos_les_5_films_inoubliables_alain_resnais(12 of12)
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