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Un député ontarien admet qu'il n'a pas démissionné seulement pour la parité

Un député ontarien admet qu'il n'a pas démissionné seulement pour la parité
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Un ministre ontarien qui disait démissionner pour aider la première ministre de la province à atteindre la parité hommes-femmes à son cabinet a admis qu'il ne s'agissait pas là de la seule raison pour laquelle il a choisi de quitter son poste.

Le ministre des Affaires municipales et du Logement, Ted McMeekin, avait annoncé sur sa page Facebook, lundi, qu'il tirerait sa révérence lorsque la première ministre Kathleen Wynne lui aura trouvé un remplaçant.

Les rumeurs de remaniement ministériel vont de bon train à l'Assemblée législative de l'Ontario et Mme Wynne a affirmé qu'elle "prenait des mesures en vue d'atteindre la parité au cabinet".

Dans son message sur Facebook, M. McMeekin a expliqué que, "parfois, la meilleure façon pour un homme de faire avancer la cause des femmes" était de se retirer pour laisser la place à ses collègues féminines. Il a aussi écrit qu'il voulait ainsi aider la première ministre à arriver à la parité.

Mardi, M. McMeekin a nié avoir démissionné parce qu'il allait être exclu du cabinet de toute façon. Il a toutefois reconnu que plusieurs facteurs avaient joué dans sa décision, dont la parité hommes-femmes.

Il a soutenu qu'il avait accompli presque tout ce qui se trouvait dans sa lettre de mandat, ce qui lui permet maintenant de consacrer plus de temps aux électeurs de sa circonscription.

M. McMeekin a également confié qu'il avait éprouvé quelques problèmes de santé, et qu'il aurait dorénavant le temps de s'entraîner et de suivre un régime.

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Les disparités parmi les avis des salariés
En fonction du statut(01 of04)
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les cadres sont 38% à penser que les jeunes diplômés sont prêts à intégrer le monde du travail efficacement alors qu’au contraire, près de 8 salariés sur 10 ayant un niveau d’étude inférieur au bac déplorent leur manque de maturité professionnelle. (credit:ONOKY - Eric Herchaft via Getty Images)
En fonction de la région(02 of04)
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Le Sud-Ouest est la région la plus critique quant à l’évaluation des formations dispensées aux étudiants : 76% déclarent que les jeunes diplômés ne sont pas bien préparés pour entrer sur le marché du travail. L’Île-de-France, région la plus attractive en termes d’emplois, suit de près les résultats du Sud-Ouest avec 74% d’opinions défavorables, viennent ensuite le Nord-Ouest (72%) et le Nord-Est (70%). La région Sud-Est est quant à elle la moins critique avec 32% d’a priori positifs. (credit:Rob Atkins via Getty Images)
En fonction de l’âge(03 of04)
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les jeunes ayant fraîchement franchi le cap et intégré le marché du travail (18-29 ans), sont les plus enthousiastes au sujet de la qualité de leur formation. Ils sont 34% à s’être sentis bien formés et à se dire prêts à intégrer le monde professionnel. A contrario, 75% des 40-49 ans ne considèrent pas que les jeunes diplômés soient bien préparés pour intégrer le marché du travail. (credit:Musketeer via Getty Images)
En fonction du sexe(04 of04)
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les femmes sont 76% à déclarer que la formation des étudiants n’est pas assez adaptée au marché du travail contre 68% des hommes. (credit:Azul Images via Getty Images)

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