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Une approche nouvelle et mobilisatrice pour le pays

Depuis l'électrochoc du 7 avril 2014, je me suis questionné et j'ai discuté de nos erreurs, de nos réussites et des leçons à en tirer pour la suite. J'en suis venu à la conclusion qu'un changement de cap s'imposait au Parti québécois. Le temps est venu pour le PQ de renouer avec l'audace et de proposer une approche nouvelle. Une approche mobilisatrice, bien de son époque.
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L'électrochoc du 7 avril 2014 a été d'une telle ampleur qu'il a forcé chacun des membres du Parti québécois à entreprendre une profonde réflexion quant à l'avenir de notre formation politique et de notre projet : faire du Québec un pays.

J'ai moi-même passé les derniers mois à me questionner sur nos erreurs, nos réussites et sur les leçons à en tirer pour la suite des choses.

Au fil de ces semaines de réflexion et de discussion, j'en suis venu à la conclusion qu'un changement de cap s'imposait au Parti québécois quant à notre façon de préparer et de réaliser la souveraineté. La gouvernance souverainiste, quoique toujours pertinente dans ses principes, ne pourra paver la voie vers le pays. Il faudra nécessairement la dépasser, aller plus loin.

Le temps est ainsi venu pour le Parti québécois de renouer avec l'audace, de sortir des sentiers battus et de proposer une approche nouvelle. Une approche mobilisatrice, bien de son époque, qui met la participation des citoyens au coeur du succès de notre projet.

Un souci de transparence

À mes yeux, nos résultats électoraux des dernières années ont démontré que notre ambivalence sur notre raison d'être ne peut que nous éloigner de notre objectif. À vouloir s'extirper des questions d'ordre mécanique, nous nous y sommes enfermés. Le débat sur l'indépendance du Québec - sur ses motifs et ses avantages - en est devenu un sur le référendum. Aujourd'hui, tous les Québécois qui sont plus jeunes que moi, et qui n'avaient donc pas droit de vote en 1995, n'ont jamais pleinement participé au débat sur l'avenir constitutionnel du Québec.

À l'avenir, j'estime qu'il faudra assumer entièrement notre projet - celui de faire du Québec un pays - et être transparents avec les Québécois quant à notre échéancier pour y arriver. Pour que les Québécois et les Québécoises tendent l'oreille et nous écoutent sur le fond des choses, nous devrons d'abord répondre à leurs questions concernant nos intentions à court, moyen et long terme.

Les assises du pays du Québec

Cela dit, le fait de s'assumer et d'être transparent ne saurait suffire à relancer le mouvement souverainiste. Pour rallier la population autour de notre projet, il ne suffit pas d'en parler plus, il faut aussi en parler mieux. Et pour ce faire, il faut définir ce dont on veut parler.

Depuis 1995, les souverainistes n'ont pas été en mesure de définir clairement le projet de pays qu'ils souhaitaient proposer à la population. Nous n'avons pas fait l'effort de nous entendre sur un socle commun, c'est-à-dire sur un ensemble de positions communes sur les questions relatives au changement de statut politique du Québec.

Cela pose un problème de cohérence et réduit considérablement notre capacité à démontrer la pertinence de notre projet. Comment espérer rassembler une majorité de Québécois autour de celui-ci si les convaincus eux-mêmes ne s'entendent pas sur ses modalités et sur le sens à lui donner?

Il est donc impératif de se remettre au travail et de définir ce projet de pays. Un projet moderne, républicain et ouvert sur le monde. Un projet qui s'incarne dans la vie quotidienne des gens et qui répond aux aspirations des Québécois et des Québécoises.

Un travail de préparation stimulant

Je suis convaincu de la nécessité de faire du Québec un pays. En même temps, la conjoncture politique actuelle nous invite à être pragmatiques. Il faudra du temps et beaucoup de travail pour relancer le mouvement souverainiste.

Les quatre prochaines années devront servir à définir ce pays que nous voulons construire. Il s'agit d'un point de départ incontournable. Le Parti québécois ne peut attendre son retour au pouvoir avant de remettre en marche ses travaux de préparation à la souveraineté. Sinon, il se retrouvera de nouveau incapable, dans quatre ans, de défendre et de promouvoir le projet qui se veut sa raison d'être. Et il risque encore une fois de voir les Québécois lui préférer un parti provincialiste.

L'une des premières tâches du prochain chef du Parti québécois devra donc être de mettre sur pied et de présider une équipe de préparation à la souveraineté. Cette équipe, composée d'élus et de représentants de la société civile, deviendra responsable de l'élaboration du contenu, de la mobilisation et des communications entourant le projet souverainiste.

L'équipe aura le mandat d'enclencher une grande consultation de tous les Québécois sur les enjeux relatifs à l'indépendance. Pour chaque enjeu, toutes les options devront être mises sur la table. Toutes les questions devront être fouillées, débattues et répondues.

Cet exercice participatif devra permettre aux souverainistes de partager des orientations communes et de parler de nouveau d'une seule voix, en faisant fi des étiquettes partisanes. L'équipe de préparation devra ainsi inclure des représentants des autres formations politiques souverainistes, dans cet esprit de coalition qui a marqué l'histoire du Parti québécois.

Il faut en finir avec ces appels répétés et sans lendemain à la convergence et à la collaboration. Il est temps de passer de la parole aux actes, de s'asseoir autour d'une même table et de travailler ensemble. Le Parti québécois doit exercer du leadership en ce sens et tendre la main.

Par ailleurs, des ressources devront nécessairement être attribuées à l'équipe de préparation pour mener à bien ce travail de recherche et de consultation. À partir de maintenant, je propose donc que la moitié des dons recueillis par le Parti québécois - à titre de contributions individuelles ou grâce à la vente de cartes de membre - serve à la préparation de la souveraineté, sous toutes ses formes. La moitié restante des dons et l'argent reçu en vertu du financement public des partis politiques devraient permettre de combler les autres besoins de notre formation.

Une démarche d'approbation citoyenne

Enfin, s'il y a une préoccupation qui m'habite plus que les autres, c'est celle d'impliquer davantage les Québécois et les Québécoises dans toute cette démarche vers le pays. En proposant que tous les souverainistes puissent se prononcer sur le choix du prochain chef du Parti québécois, il y a quelques mois, j'émettais le souhait de voir notre formation politique ouvrir ses portes à des citoyens de tous les horizons, pour que nous redevenions ce «parti du peuple» que nous avons longtemps été. C'est dans le même état d'esprit que j'ai élaboré cette nouvelle approche vers la souveraineté.

Trop souvent, l'idéal souverainiste n'a été porté et défendu que par nos élites politiques et intellectuelles. Il faut renverser cette tendance et conjuguer ces efforts avec un véritable élan populaire. La responsabilité d'une troisième consultation populaire sur la souveraineté doit être partagée entre le gouvernement du Québec et la population. Du début à la fin, les citoyens doivent être partie prenante du processus.

À cet effet, j'estime que le Parti québécois devra signifier, aux élections générales de 2018, son intention de tenir un référendum sur la souveraineté du Québec dans la deuxième partie de son mandat, après avoir été élu à la tête d'un gouvernement majoritaire.

Le Parti québécois ne devra toutefois pas demander un chèque en blanc à la population. Il s'engagera d'abord à rendre public, dès sa deuxième année au pouvoir, son projet de pays. Pour ce faire, il reprendra les orientations communes définies pendant ses quatre ans dans l'opposition et profitera de sa première année au gouvernement pour compléter toutes les études sur la souveraineté. Un vaste document d'information sera déposé, essentiellement sous forme de questions/réponses, pour répondre à chacune des interrogations des citoyens sur la souveraineté et la transition vers le statut de pays.

Une Constitution du Québec codifiant, d'une part, les règles actuelles qui organisent l'État québécois et, d'autre part, les clauses transitoires qui entreraient en vigueur au jour 1 de l'indépendance, devra aussi être déposée.

Les citoyens du Québec devront ensuite avoir la chance de s'approprier ce contenu et d'approuver la tenue d'un référendum sur le projet tel que défini. Pour ce faire, un registre national sera ouvert, à l'initiative du gouvernement, avec l'objectif de recueillir la signature d'un million de Québécois étant favorables au projet de pays et à la tenue d'une consultation populaire sur celui-ci. La période de signatures s'échelonnera sur un an, sous la supervision du Directeur général des élections. L'enjeu sera clairement établi: faute d'obtenir cette approbation citoyenne, le gouvernement du Parti québécois renoncera à soumettre son projet à la consultation populaire.

Recréer un mouvement citoyen

Soyons clairs: il ne s'agit pas de subordonner l'organisation du référendum à quelque condition que ce soit. Un gouvernement du Parti québécois ayant pris l'engagement de tenir un référendum dispose, à mon sens, de toute la légitimité nécessaire pour en organiser un. L'enjeu ici est tout autre. Il s'agit de se donner l'occasion et les moyens de mobiliser une masse critique de Québécois en faveur du projet de pays qui leur aura été soumis. Certes, à un million de signatures, la barre est haute. Cela ne s'est jamais vu dans l'histoire du Québec. Mais parce que nous n'avons pas droit à l'échec, et que nous voulons créer une mobilisation qui, justement, soit sans précédent, nous devons nous imposer un vrai test de crédibilité.

Nous répétons sans cesse que la souveraineté du Québec ne doit plus être l'apanage d'un seul parti ou d'un gouvernement, mais devenir un véritable projet de société, défini et porté avec les citoyens du Québec. Selon moi, si nous avons failli à matérialiser cette volonté, c'est parce que les gens ne se mobilisent que lorsqu'ils ont le sentiment profond de pouvoir faire une différence.

Une démarche d'approbation citoyenne change la donne. Elle remet la destinée du Québec entre les mains de sa population. Ce sont les citoyens, et personne d'autre, qui auront le pouvoir de tout rendre possible.

Je suis persuadé que les Québécois, habités par cette conviction de pouvoir influencer le cours de l'histoire, s'engageront en grand nombre pour faire avancer la cause. Ils redeviendront des acteurs de changement et porteront, avec le gouvernement du Québec, leur projet de pays. La responsabilité de sa réussite sera donc partagée par toute la collectivité.

Cette mobilisation préalable deviendra un gage de succès pour le référendum à venir. Chaque citoyen qui signera le registre national aura les mois qui suivent pour rallier ses compatriotes aux avantages de l'indépendance. Nous aurons, à terme, plus d'un million de porte-paroles répartis aux quatre coins du Québec.

Cela permettra au débat d'avoir lieu sur le fond des choses, c'est-à-dire sur le contenu du projet de pays qui aura été déposé. Parce que j'ai confiance en ce projet, en sa valeur et sa pertinence, je suis de ceux qui croient que plus les citoyens auront de réponses à leurs questions, mieux ce sera. Plus ils seront informés, plus les Québécois seront enclins à voter pour la souveraineté.

Il y a aussi derrière cette démarche d'approbation citoyenne une volonté de rassurer les Québécois. En promettant que les citoyens pourront d'abord avaliser le projet de pays proposé, nous offrons des garanties à la population. Nous ne lui demandons pas de foncer tête baissée dans un processus qui serait irréversible. Entre l'élection d'un gouvernement majoritaire du Parti québécois et la tenue d'un référendum, la sagesse populaire aura l'occasion d'intervenir.

En somme, cette nouvelle approche nous pousse à nous mettre en action et crée les conditions d'un succès référendaire. Certes, il n'y a rien d'automatique. C'est au référendum que les Québécois se prononceront véritablement. Mais le momentum engendré par cette mobilisation citoyenne augmentera de façon considérable nos chances de victoire.

Lorsque nous aurons défini un projet de pays concret et que plus d'un million de citoyens auront exprimé le souhait qu'on le soumette à la consultation, j'estime que ce sera parce que les conditions gagnantes auront été réunies. Nous aurons alors l'assurance morale de pouvoir gagner pour le Québec. Nous saurons que les Québécois seront prêts, enfin, pour leur rendez-vous avec l'histoire.

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