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Une pancarte mal traduite fait réagir les Franco-Ontariens

Une pancarte mal traduite fait réagir les Franco-Ontariens
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Une pancarte située près d'Elliot Lake prévient les automobilistes que les « amandes [sic] de vitesse doublent dans les zones de construction lorsque les travailleurs présents [sic] ».

Une photo de cette pancarte, aperçue le long de la route 108, a été publiée sur la page Facebook du groupe Franco-Ontariens du nord de l'Ontario, ce qui a suscité de nombreux commentaires.

Des internautes se demandent si ces « amandes » sont « salées ». D'autres affirment que mieux vaut avoir une pancarte mal traduite qu'une pancarte en anglais uniquement.

En entrevue à l'émission Le matin du Nord, la ministre des Affaires francophones de l'Ontario, Marie-France Lalonde, a réagi à cette photo.

« Je trouve ça regrettable », a-t-elle dit. « C'est certain que ça peut arriver, des erreurs de frappe, et il faut faire attention, mais lorsqu'on parle d'erreurs d'orthographe, je pense qu'il faut être sensible à ça, et surtout pour nous, comme francophones, ça vient nous chercher. »

Marie-France Lalonde était de passage à Elliot Lake lundi matin, dans le cadre de la tournée de la première ministre Kathleen Wynne dans le nord de l'Ontario.

Voir aussi:

La Loi 101 au Québec
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Camille Laurin lors de son entrée à l'Assemblée nationale, le 27 avril 1977, jour où il déposa son projet de loi sur la langue française. (credit:PC)
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Un vétéran de la Seconde guerre mondiale proteste contre la Loi 101. (credit:PC)
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Camille Laurin appose un badge YES sur le veston de René Lévesque, lors de la campagne du référendum sur l'indépendance du Québec en février 1980. (credit:PC)
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Camille Laurin s'adresse au caucus du PQ lors du 20ème anniversaire de la Loi 101, célébré le 26 août 1997. (credit:PC)
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Un restaurateur montréalais montre les sous-bock en anglais qui lui ont valu, en mars 2000) d'être réprimandé par les inspecteurs de l'Office de la langue française. (credit:PC)
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Gilles Duceppe, Louise Harel et Pauline Marois en tête de la manifestation montréalaise organisée le 26 août 2007, pour les 30 ans de la Loi 101. (credit:PC)
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Des partisans de la Loi 101 manifestent pour la défense de la Charte de la langue française, le 26 août 2007 à Montréal. (credit:PC)
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Un défenseur du Québec francophone, lors de la manifestatiom organisée pour les 30 ans de la Loi 101. (credit:PC)
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Le premier ministre Jean Charest, le 3 juin 2010, lors d'un débat houleux à l'Assemblée nationale portant sur une décision de la Cour supérieure qui a autorisé les enfants de neuf familles à fréquenter une école anglophone. (credit:PC)
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Pauline Marois, le 3 juin 2010, lors d'un débat houleux à l'Assemblée nationale portant sur une décision de la Cour supérieure qui a autorisé les enfants de neuf familles à fréquenter une école anglophone. (credit:PC)
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L'édifice de l'Office québécois de la langue française, à Montréal, porte le nom du père de la Loi 101. (credit:PC)
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Le député indépendant, et ex-péquiste, Pierre Curzi présente, le 27 mai 2012, un projet de loi visant à modifier la Charte de langue française qui élargirait la portée de ses dispositions. (credit:PC)
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La ministre responsable de la Charte de la langue française, Diane De Courcy, a présenté le 5 décembre 2012 un projet de loi visant à modifier la Loi 101, et notamment à inclure l'usage du français Charte québécoise des droits et libertés. (credit:PC)

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